Lettre n° 3665
Par la grâce de D.ieu,
23 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 16 Tamouz, dans laquelle vous me faites part de votre état de santé. Vous me dites que, par le passé, il est arrivé que vous ne parveniez malheureusement pas au terme de votre grossesse.
En pareil cas, il convient de renforcer sa confiance en D.ieu, Qui accorde Sa divine Providence à chaque Juif et à chaque Juive. Il est la perfection du bien et vous prodiguera Sa bonté et Son bienfait, un bien visible et tangible.
Plus votre confiance sera grande et plus vous adopterez scrupuleusement le comportement des femmes juives vertueuses, en respectant la pureté familiale, la pudeur, en dirigeant votre foyer(1), de façon générale, plus vous hâterez et multiplierez la bénédiction, en tous vos besoins, globalement et pour avoir un enfant, en particulier.
En tout domaine, il faut systématiquement avoir recours aux voies de la nature. Vous interrogerez donc un médecin spécialiste, qui vous indiquera quel comportement il convient d’adopter, pendant la période de la grossesse. Vous éviterez, en particulier, de porter de lourds fardeaux, de courir plus qu’à l’accoutumée.
Lorsque vous serez enceinte, en un moment bon et fructueux, vous ne ferez pas connaître votre état(2), si ce n’est aux plus proches, jusqu’au début du cinquième mois de grossesse.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Si les Mezouzot de votre maison n’ont pas été vérifiées pendant les douze dernières mois, il serait bon de le faire maintenant.
Notes
(1) En y adoptant le comportement qui doit être celui d’une femme juive.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2436.
23 Tamouz 5715,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 16 Tamouz, dans laquelle vous me faites part de votre état de santé. Vous me dites que, par le passé, il est arrivé que vous ne parveniez malheureusement pas au terme de votre grossesse.
En pareil cas, il convient de renforcer sa confiance en D.ieu, Qui accorde Sa divine Providence à chaque Juif et à chaque Juive. Il est la perfection du bien et vous prodiguera Sa bonté et Son bienfait, un bien visible et tangible.
Plus votre confiance sera grande et plus vous adopterez scrupuleusement le comportement des femmes juives vertueuses, en respectant la pureté familiale, la pudeur, en dirigeant votre foyer(1), de façon générale, plus vous hâterez et multiplierez la bénédiction, en tous vos besoins, globalement et pour avoir un enfant, en particulier.
En tout domaine, il faut systématiquement avoir recours aux voies de la nature. Vous interrogerez donc un médecin spécialiste, qui vous indiquera quel comportement il convient d’adopter, pendant la période de la grossesse. Vous éviterez, en particulier, de porter de lourds fardeaux, de courir plus qu’à l’accoutumée.
Lorsque vous serez enceinte, en un moment bon et fructueux, vous ne ferez pas connaître votre état(2), si ce n’est aux plus proches, jusqu’au début du cinquième mois de grossesse.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Si les Mezouzot de votre maison n’ont pas été vérifiées pendant les douze dernières mois, il serait bon de le faire maintenant.
Notes
(1) En y adoptant le comportement qui doit être celui d’une femme juive.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2436.