Lettre n° 3962
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5716,
Brooklyn, New York,
A tous les participants à la fête de remise des diplômes
rabbiniques de la Yechiva Tom’heï Temimim Loubavitch
de Montréal, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de remise des diplômes rabbiniques, qui aura lieu ce 19 Kislev, j’adresse mon salut et ma bénédiction aux enseignants et aux dirigeants de la Yechiva, aux élèves recevant ces diplômes, à tous les invités et à tous ceux qui prennent part à la joie de la Torah.
Cette célébration de Torah, dans la Yechiva Loubavitch, en plus de son contenu intrinsèque, est également un événement d’une large portée et une double joie, compte tenu du caractère spécifique de la Yechiva et de ses élèves.
Auparavant, la finalité d’une Yechiva était de faire acquérir à ceux qui la fréquentaient une profonde connaissance de la sainte Torah. Alors, il n’y avait pas lieu de se soucier de l’influence exercée par l’environnement. A l’heure actuelle, en revanche, la Yechiva ne se contente pas de former des érudits. Elle doit, en outre, faire en sorte que ceux-ci aient la crainte de D.ieu.
Mais, la raison d’être et la conception d’une Yechiva Loubavitch vont encore plus loin. Celle-ci entend, non seulement former des érudits ayant la crainte de D.ieu et de bons comportements, respectant la Torah et les Mitsvot de la meilleure façon, mais aussi implanter en eux un sentiment de responsabilité envers l’autre, les pénétrer d’amour du prochain et d’abnégation. De ce fait, les élèves de la Yechiva Loubavitch sont “ des lumières pour éclairer ”, propageant la clarté de la Torah, des Mitsvot, des bons comportements, des pratiques positives, en chaque endroit et en chaque milieu où la divine Providence les conduit.
Tout est effet de la divine Providence, y compris le fait que la fête de remise des diplômes soit célébrée au jour lumineux du 19 Kislev, fête de la libération de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h. En ce jour, les accusations portées contre lui furent lavées, car il avait fait don de sa propre personne pour répandre les sources non seulement de la Torah, mais aussi du bon comportement. Dans ce but, il instaura de nombreuses pratiques et les diffusa également auprès de ceux qui se trouvaient à l’extérieur.
Ceux qui reçoivent l’ordination rabbinique et ceux qui prennent part à la fête de remise des diplômes se pénétreront sûrement de cet esprit, de la lumière de l’enseignement et des pratiques de la ‘Hassidout. Ils exerceront leur influence sur leur entourage, chacun en l’endroit où il se trouve, auprès de ceux qui sont proches et de ceux qui, pour l’heure, sont encore éloignés, afin de les rapprocher de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Le mérite de l’étude de la Torah pénétrée de crainte de D.ieu et celui de nos saints maîtres protégera chacun d’entre vous, suscitera la bénédiction et la réussite pour tous, avec les membres de leur famille, en tous les besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération, lorsque la lumière et la vitalité de nos âmes nous ont été accordées,
15 Kislev 5716,
Brooklyn, New York,
A tous les participants à la fête de remise des diplômes
rabbiniques de la Yechiva Tom’heï Temimim Loubavitch
de Montréal, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de remise des diplômes rabbiniques, qui aura lieu ce 19 Kislev, j’adresse mon salut et ma bénédiction aux enseignants et aux dirigeants de la Yechiva, aux élèves recevant ces diplômes, à tous les invités et à tous ceux qui prennent part à la joie de la Torah.
Cette célébration de Torah, dans la Yechiva Loubavitch, en plus de son contenu intrinsèque, est également un événement d’une large portée et une double joie, compte tenu du caractère spécifique de la Yechiva et de ses élèves.
Auparavant, la finalité d’une Yechiva était de faire acquérir à ceux qui la fréquentaient une profonde connaissance de la sainte Torah. Alors, il n’y avait pas lieu de se soucier de l’influence exercée par l’environnement. A l’heure actuelle, en revanche, la Yechiva ne se contente pas de former des érudits. Elle doit, en outre, faire en sorte que ceux-ci aient la crainte de D.ieu.
Mais, la raison d’être et la conception d’une Yechiva Loubavitch vont encore plus loin. Celle-ci entend, non seulement former des érudits ayant la crainte de D.ieu et de bons comportements, respectant la Torah et les Mitsvot de la meilleure façon, mais aussi implanter en eux un sentiment de responsabilité envers l’autre, les pénétrer d’amour du prochain et d’abnégation. De ce fait, les élèves de la Yechiva Loubavitch sont “ des lumières pour éclairer ”, propageant la clarté de la Torah, des Mitsvot, des bons comportements, des pratiques positives, en chaque endroit et en chaque milieu où la divine Providence les conduit.
Tout est effet de la divine Providence, y compris le fait que la fête de remise des diplômes soit célébrée au jour lumineux du 19 Kislev, fête de la libération de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h. En ce jour, les accusations portées contre lui furent lavées, car il avait fait don de sa propre personne pour répandre les sources non seulement de la Torah, mais aussi du bon comportement. Dans ce but, il instaura de nombreuses pratiques et les diffusa également auprès de ceux qui se trouvaient à l’extérieur.
Ceux qui reçoivent l’ordination rabbinique et ceux qui prennent part à la fête de remise des diplômes se pénétreront sûrement de cet esprit, de la lumière de l’enseignement et des pratiques de la ‘Hassidout. Ils exerceront leur influence sur leur entourage, chacun en l’endroit où il se trouve, auprès de ceux qui sont proches et de ceux qui, pour l’heure, sont encore éloignés, afin de les rapprocher de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Le mérite de l’étude de la Torah pénétrée de crainte de D.ieu et celui de nos saints maîtres protégera chacun d’entre vous, suscitera la bénédiction et la réussite pour tous, avec les membres de leur famille, en tous les besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête de la libération, lorsque la lumière et la vitalité de nos âmes nous ont été accordées,