Lettre n° 4153
Par la grâce de D.ieu,
8 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui n’était pas datée, dans laquelle vous évoquez l’empressement et la force de caractère, que vous ne semblez pas posséder de la manière qui convient.
Concernant l’empressement, vous étudierez le Chaar Ha Y’houd Ve Ha Emouna, de l’Admour Hazaken, qui est la seconde partie du saint Tanya. Puis, vous méditerez à ce qui est dit au début du Tour Ora’h Haïm, également cité par le Ramah : “ L’homme qui est seul chez lui, ses gestes, ses occupations, ne sont nullement comparables à ce qu’ils sont en présence d’un grand roi ”.
Et, s’il en est ainsi à l’extérieur d’Erets Israël, combien plus est-ce le cas en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. En effet, on ne se tient pas devant un grand Roi de la même façon selon que Celui-ci se trouve dans le champ ou dans Son palais.
Après avoir, une première fois, médité à tout cela, pendant un long moment, vous pourrez raviver brièvement le souvenir de cette réflexion, chaque fois que vous devrez mettre en éveil l’empressement, comme le dit l’Admour Hazaken, au début de son Sidour. Ainsi, vous vous rappellerez de D.ieu, Qui se trouve devant vous et vous abandonnerez votre nonchalance pour faire preuve de vivacité.
S’agissant de la force de caractère, vous étudierez le Likouteï Torah, au début de la Parchat Vaykra, pagez 1c, qui dit que “ l’émissaire de l’Homme céleste s’identifie à Lui ”. Vous réfléchirez à cela et vous honorerez les Mitsvot, qui sont “ Mes émissaires ”. Si vous méditez à ce qui vient d’être dit, vous vous renforcerez aussi dans l’avis de la Torah et dans celui des Mitsvot.
Pour ce qui est du programme d’étude de la ‘Hassidout, vous apporterez tous les détails aux ‘Hassidim âgés, qui se trouvent près de vous. En fonction de cela, ils vous guideront et vous vous conformerez à leur avis. Vous connaîtrez la réussite.
Sans doute gardez-vous les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Vous les respecterez, au moins à l’avenir.
Avec ma bénédiction,
4153*
Par la grâce de D.ieu,
8 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous envisagez les possibilités de vous installer aux Etats Unis, en tant qu’enseignant de Yechiva ou de Talmud Torah ou bien en étant Cho’het pour la volaille ou encore officiant.
De façon générale, ceux qui s’installent ici finissent par trouver une situation. Néanmoins, on ne peut pas savoir combien de temps cela prendra et si cette situation sera satisfaisante. Or, quand on a une famille, on doit s’installer relativement vite et l’on ne peut donc pas faire le choix d’attendre trop longtemps.
Ici, comme en tout autre endroit, les relations sont importantes. Tous les postes disponibles, qui sont proposés, reçoivent de nombreuses candidatures. S’il y a ici des personnes qui vous connaissent personnellement, il serait bon de vous adresser à elles et de leur demander leur sentiment, pour ce qui concerne votre personne, en fonction de vos capacités, la fonction qui vous convient et l’endroit dans lequel il sera plus aisé de s’installer.
Après tout ce qui vient d’être dit, je dois ajouter que vous vous trouvez actuellement dans un lieu où les personnes susceptibles de renforcer le Judaïsme et de le diffuser sont très peu nombreuses. A l’opposé, avec l’empressement qui convient, il est sûrement possible d’organiser un groupe de jeunes et d’enfants, qui recevront une bonne éducation et iront peut-être même plus au-delà de cela.
Il faut donc véritablement se demander si vous devez fuir le lieu de l’action, d’autant que, là où vous vous trouvez, votre subsistance, matérielle et spirituelle, est, pour l’heure, assurée.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
8 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui n’était pas datée, dans laquelle vous évoquez l’empressement et la force de caractère, que vous ne semblez pas posséder de la manière qui convient.
Concernant l’empressement, vous étudierez le Chaar Ha Y’houd Ve Ha Emouna, de l’Admour Hazaken, qui est la seconde partie du saint Tanya. Puis, vous méditerez à ce qui est dit au début du Tour Ora’h Haïm, également cité par le Ramah : “ L’homme qui est seul chez lui, ses gestes, ses occupations, ne sont nullement comparables à ce qu’ils sont en présence d’un grand roi ”.
Et, s’il en est ainsi à l’extérieur d’Erets Israël, combien plus est-ce le cas en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. En effet, on ne se tient pas devant un grand Roi de la même façon selon que Celui-ci se trouve dans le champ ou dans Son palais.
Après avoir, une première fois, médité à tout cela, pendant un long moment, vous pourrez raviver brièvement le souvenir de cette réflexion, chaque fois que vous devrez mettre en éveil l’empressement, comme le dit l’Admour Hazaken, au début de son Sidour. Ainsi, vous vous rappellerez de D.ieu, Qui se trouve devant vous et vous abandonnerez votre nonchalance pour faire preuve de vivacité.
S’agissant de la force de caractère, vous étudierez le Likouteï Torah, au début de la Parchat Vaykra, pagez 1c, qui dit que “ l’émissaire de l’Homme céleste s’identifie à Lui ”. Vous réfléchirez à cela et vous honorerez les Mitsvot, qui sont “ Mes émissaires ”. Si vous méditez à ce qui vient d’être dit, vous vous renforcerez aussi dans l’avis de la Torah et dans celui des Mitsvot.
Pour ce qui est du programme d’étude de la ‘Hassidout, vous apporterez tous les détails aux ‘Hassidim âgés, qui se trouvent près de vous. En fonction de cela, ils vous guideront et vous vous conformerez à leur avis. Vous connaîtrez la réussite.
Sans doute gardez-vous les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Vous les respecterez, au moins à l’avenir.
Avec ma bénédiction,
4153*
Par la grâce de D.ieu,
8 Adar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous envisagez les possibilités de vous installer aux Etats Unis, en tant qu’enseignant de Yechiva ou de Talmud Torah ou bien en étant Cho’het pour la volaille ou encore officiant.
De façon générale, ceux qui s’installent ici finissent par trouver une situation. Néanmoins, on ne peut pas savoir combien de temps cela prendra et si cette situation sera satisfaisante. Or, quand on a une famille, on doit s’installer relativement vite et l’on ne peut donc pas faire le choix d’attendre trop longtemps.
Ici, comme en tout autre endroit, les relations sont importantes. Tous les postes disponibles, qui sont proposés, reçoivent de nombreuses candidatures. S’il y a ici des personnes qui vous connaissent personnellement, il serait bon de vous adresser à elles et de leur demander leur sentiment, pour ce qui concerne votre personne, en fonction de vos capacités, la fonction qui vous convient et l’endroit dans lequel il sera plus aisé de s’installer.
Après tout ce qui vient d’être dit, je dois ajouter que vous vous trouvez actuellement dans un lieu où les personnes susceptibles de renforcer le Judaïsme et de le diffuser sont très peu nombreuses. A l’opposé, avec l’empressement qui convient, il est sûrement possible d’organiser un groupe de jeunes et d’enfants, qui recevront une bonne éducation et iront peut-être même plus au-delà de cela.
Il faut donc véritablement se demander si vous devez fuir le lieu de l’action, d’autant que, là où vous vous trouvez, votre subsistance, matérielle et spirituelle, est, pour l’heure, assurée.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,