Lettre n° 4856
Par la grâce de D.ieu,
21 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël Zusman(1),
Je vous salue et vous bénis,
A réception de cette lettre, vous aurez sûrement déjà pris connaissance des informations transmises par les invités qui sont venus ici(2), de même que de quelques points des propos d’encouragement(3). Puisse D.ieu faire que cela ait un effet sur les pensées, les paroles et les actions de toute l’année.
Je vous adresse ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement et de vos accomplissements communautaires.
N. B. : Vous me demandez si l’on peut envisager une réunion ‘hassidique au cours de laquelle on ne prononcerait pas de paroles de la Torah.
Je suis surpris que vous puissiez avoir un doute, en la matière, alors que la Michna, au chapitre 3 du traité Avot(4), répond clairement à cette question. Bien plus, la ‘Hassidout souligne qu’en présence de dix Juifs, la Présence divine se révèle. Certes, il en est ainsi même s’ils n’étudient pas la Torah. Pour autant, on peut comprendre à quel point tout ce qui a trait à la Torah est précieux, quand la Présence de D.ieu est révélée.
Bien entendu, il en est ainsi seulement quand il n’en résulte pas de disputes ou quand cela n’a pas pour effet d’annuler, purement et simplement, cette réunion ‘hassidique. Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 53, fin du paragraphe 23, de même que le Kountrass A’haron du Tanya, à sa conclusion.
Notes
(1) Le Rav I. Z. Dvurts, de Kfar ‘Habad. Voir, à son sujet, la lettre n°4403.
(2) Pour passer le mois de Tichri auprès du Rabbi.
(3) Tenus par le Rabbi pendant ce mois de Tichri.
(4) Michna 3 : “ Trois personnes qui ont mangé à la même table sans y prononcer des paroles de la Torah sont comme s’ils avaient consommé les offrandes des morts ”.
21 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël Zusman(1),
Je vous salue et vous bénis,
A réception de cette lettre, vous aurez sûrement déjà pris connaissance des informations transmises par les invités qui sont venus ici(2), de même que de quelques points des propos d’encouragement(3). Puisse D.ieu faire que cela ait un effet sur les pensées, les paroles et les actions de toute l’année.
Je vous adresse ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement et de vos accomplissements communautaires.
N. B. : Vous me demandez si l’on peut envisager une réunion ‘hassidique au cours de laquelle on ne prononcerait pas de paroles de la Torah.
Je suis surpris que vous puissiez avoir un doute, en la matière, alors que la Michna, au chapitre 3 du traité Avot(4), répond clairement à cette question. Bien plus, la ‘Hassidout souligne qu’en présence de dix Juifs, la Présence divine se révèle. Certes, il en est ainsi même s’ils n’étudient pas la Torah. Pour autant, on peut comprendre à quel point tout ce qui a trait à la Torah est précieux, quand la Présence de D.ieu est révélée.
Bien entendu, il en est ainsi seulement quand il n’en résulte pas de disputes ou quand cela n’a pas pour effet d’annuler, purement et simplement, cette réunion ‘hassidique. Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 53, fin du paragraphe 23, de même que le Kountrass A’haron du Tanya, à sa conclusion.
Notes
(1) Le Rav I. Z. Dvurts, de Kfar ‘Habad. Voir, à son sujet, la lettre n°4403.
(2) Pour passer le mois de Tichri auprès du Rabbi.
(3) Tenus par le Rabbi pendant ce mois de Tichri.
(4) Michna 3 : “ Trois personnes qui ont mangé à la même table sans y prononcer des paroles de la Torah sont comme s’ils avaient consommé les offrandes des morts ”.