Lettre n° 5168
Par la grâce de D.ieu,
28 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi(1), dont le mérite nous protégera. Vous m’écrivez que, du fait de vos nombreuses activités, vous ne pouvez pas mettre en pratique ce que je disais dans mes précédentes lettres.
Il est pourtant bien clair qu’un homme met en pratique la Torah et les Mitsvot pour son bien et pour celui de toutes les personnes qui ont des liens familiaux avec lui. En conséquence, si, en plus de ce qui est couramment nécessaire, on a besoin de bénédictions supplémentaires de D.ieu, parce que l’on est très occupé, on doit multiplier la Torah et les Mitsvot et non le contraire.
Ceci permet d’écarter totalement le début de votre lettre(2).
De même, il est clair qu’il ne s’agissait pas de la demande d’une certaine personne(3), pour le bien des autres, mais de ce qui, à mon avis, est susceptible d’améliorer votre propre situation. C’est une évidence.
Vous me faite part de ce que vous avez trouvé, dans un certain livre, exposant une pratique(4) qui aurait une certaine propriété. Abandonnez donc ces pratiques, qui ne sont pas le fait de chacun, qui ne s’appliquent pas à toutes les situations ! Il n’est pas donné à chacun de déterminer clairement ce qu’il en est, alors qu’il existe une pratique ayant une propriété établie et déterminée, celle de la Torah et des Mitsvot, comme je le disais dans mes précédentes lettres.
Celui Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles vous éclairera les yeux, en tout ce qui vient d’être dit. Il permettra que votre mère ait une prompte guérison et une longue vie.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le Chabbat Parchat Bechala’h, 10 Chevat.
(2) Les nombreuses activités ne justifient pas que l’on refuse un ajout à la Torah et aux Mitsvot.
(3) En l’occurrence, du Rabbi.
(4) Consistant à écrire, sur un parchemin, les mots : “ Déchire le Satan ”.
28 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi(1), dont le mérite nous protégera. Vous m’écrivez que, du fait de vos nombreuses activités, vous ne pouvez pas mettre en pratique ce que je disais dans mes précédentes lettres.
Il est pourtant bien clair qu’un homme met en pratique la Torah et les Mitsvot pour son bien et pour celui de toutes les personnes qui ont des liens familiaux avec lui. En conséquence, si, en plus de ce qui est couramment nécessaire, on a besoin de bénédictions supplémentaires de D.ieu, parce que l’on est très occupé, on doit multiplier la Torah et les Mitsvot et non le contraire.
Ceci permet d’écarter totalement le début de votre lettre(2).
De même, il est clair qu’il ne s’agissait pas de la demande d’une certaine personne(3), pour le bien des autres, mais de ce qui, à mon avis, est susceptible d’améliorer votre propre situation. C’est une évidence.
Vous me faite part de ce que vous avez trouvé, dans un certain livre, exposant une pratique(4) qui aurait une certaine propriété. Abandonnez donc ces pratiques, qui ne sont pas le fait de chacun, qui ne s’appliquent pas à toutes les situations ! Il n’est pas donné à chacun de déterminer clairement ce qu’il en est, alors qu’il existe une pratique ayant une propriété établie et déterminée, celle de la Torah et des Mitsvot, comme je le disais dans mes précédentes lettres.
Celui Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles vous éclairera les yeux, en tout ce qui vient d’être dit. Il permettra que votre mère ait une prompte guérison et une longue vie.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le Chabbat Parchat Bechala’h, 10 Chevat.
(2) Les nombreuses activités ne justifient pas que l’on refuse un ajout à la Torah et aux Mitsvot.
(3) En l’occurrence, du Rabbi.
(4) Consistant à écrire, sur un parchemin, les mots : “ Déchire le Satan ”.