Lettre n° 548
Par la grâce de D.ieu,
14 Kislev 5710,
Au distingué 'Hassid qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous trouverez ci-joint une photocopie d'une lettre de mon beau-père, le Rabbi Chlita.
A l'occasion de la fête de la libération(2), je vous joins le fascicule qui vient d'être édité. En considérant ce que dit mon beau-père, le Rabbi Chlita, dans ses lettres, au début et à la fin de ce fascicule, vous le mettrez sans doute à la disposition de tout votre entourage. Ceci constituera un bon début en ce sens, qui vous permettra ensuite d'aller de l'avant, tout au long de l'année, depuis ce 19 Kislev jusqu'au prochain.
Nous conclurons en examinant plus profondément les paroles de notre maître et en montrant à quel point sont précis les mots qui semblent n'être qu'une répétition, destinée à insister sur une certaine idée.
Le début de la causerie imprimée au commencement de ce fascicule dit que "la ‘Hassidout permet de faire régner l’ordre dans le désordre et de tranformer le désordre en ordre" ou bien, selon une autre version, "d’introduire l’ordre dans le désordre". Or, n’y a-t-il pas là une seule et même affirmation, exprimée de différentes façons?
Nous donnerons, très brièvement, à ce propos, l’explication suivante. L’ordre et le désordre font allusion aux systèmes de Tikoun et de Tohou ou bien, par la suite, à la Torah et aux Mitsvot, d’une part, aux corps et aux besoins physiques, dans lesquels s’entremêlent le bien et le mal, d’autre part.
Le Baal Chem Tov souligna et l’Admour Hazaken expliqua que l’on ne sert pas D.ieu en se mortifiant et en repoussant le corps, mais, bien au contraire, en l’affinant et en l’élevant, comme l’établit le commentaire du Baal Chem Tov, rapporté par le Hayom Yom, à la page 23, sur le verset "lorsque tu verras l’âne de ton ami".
Bien évidemment, tout cela doit être conforme à l’enseignement de ‘Habad, c'est-à-dire être obtenu progressivement, sans se contenter de ce qui est uniquement superficiel. Vous consulterez, à ce propos, la conclusion du Kountrass Haavoda.
Telle est donc la leçon délivrée par cette causerie, qui précise les différentes étapes du service de D.ieu basé sur la ‘Hassidout:
A) Il faut d’abord introduire l’ordre dans le désordre. Car, au commencement du service de D.ieu, il s’agit bien de deux situations différentes. Néanmoins, l’âme divine peut éclairer l’âme animale et faire qu’elle se taise.
B) On doit ensuite transformer le désordre en ordre, de sorte que le désordre disparaisse, que seul l’ordre règne. Dès lors, l’âme animale prie et étudie la Torah, sous la conduite de l’âme divine. Pour autant, elle ne met pas encore toutes ses forces à la disposition de la sainteté, ce qui est bien la finalité ultime et constitue une situation totalement différente.
C) A ce dernier stade, en effet, on fait régner l’ordre dans le désordre. On possède ainsi les qualités des deux systèmes à la fois, les intenses lumières de Tohou et les puissants réceptacles de Tikoun.
Vous consulterez la fin du discours ‘hassidique de 5709, intitulé "Le pardon se trouve auprès de Toi", qui explique le moyen de se repentir sur le manquement à se limiter et à évaluer une situation. Ce sujet ne sera pas développé ici.
Je vous salue et vous souhaite tout le bien. Je souhaite une bonne fête à toute votre communauté,
M. Schneerson,
* * *
J’ai bien reçu, en leurs temps, vos lettres du 7 et du 27 Tichri(3). J’aurai des nouvelles précises par le Rav P. A.(4). Les comptes du Maamad sont confiés au Rav M. G.(5) et doivent lui être transmis.
Tous ceux qui étudient la Torah, grands et petits, y compris, bien entendu, les classes des Yechivot Tom’heï Temimim et A’heï Temimim(6), apprennent sûrement, de manière systématique, les causeries et les discours ‘hassidiques de mon beau-père, le Rabbi Chlita.
Le Rabbi est, en effet, l’âme collective de notre génération et il faut, en toute chose, se lier à lui, en particulier par l’intermédiaire de son enseignement, puisqu’il est un intermédiaire nous liant à l’Essence de D.ieu.
Ce que vous écrivez est donc en relation avec le Maamad spirituel.
* * *
Vous trouverez ci-joint(7) le compte rendu des discours(8) de Chemini Atséret et de Sim’hat Torah. Comme les fois précédentes, vous les ferez sans doute copier par vos disciples, afin de les mettre à la disposition de toutes les implantations de ‘Hassidim(9).
J’ai transmis trente deux(10) aux éditions Kehot, pour solder la dette contractée par ma mère, puisse-t-elle avoir une longue vie(11). En contrepartie, nous enverrons des publications à la Yechiva Tom’heï Temimim, comme vous me l’avez demandé. Il me semble que, d’après ce que vous m’avez écrit, elle devait, au total, soixante(10).
* * *
Je viens de recevoir un appel téléphonique(12) du Rav M. D. Cohen, qui a apporté ici le Kav Naki(13). Il est dommage que la famille Lawot en repousse l’impression de quelques mois. Et, qui sait si l’on ne trouvera pas alors un autre prétexte?
Lorsque monsieur ... était ici, je lui ai expliqué que l’édition de ce livre était une occasion à saisir, comme vous me l’avez écrit. Il a aussitôt accepté.
* * *
Vous m’avez demandé(15) si celui qui doit dire le Yzkor est également appelé à la Torah, le même jour. Je n’ai jamais vu que l’on adopte une telle pratique. De plus, comment cela est-il possible, puisque l’on n’augmente pas le nombre des appelés à la Torah, à A’haron Chel Pessa’h?
A l’opposé, on doit tenir le montant en bois du Séfer Torah, pendant que l’on prononce le Yzkor. C’est ce que fait mon beau-père, le Rabbi Chlita.
Je n’ai jamais vu que l’on choisisse, pour conduire la prière, à l’issue de Yom Kippour, précisément quelqu’un qui a encore son père et sa mère. A la synagogue, ici, nous n’avons pas une telle pratique.
Comme vous l’avez demandé, vous trouverez ci-joint, en retour, vos listes qui ont été recopiées. Vous continuerez sans doute à nous les adresser et vous voudrez bien, à l’avenir, nous en envoyer d’emblée une copie, car il n’est pas aisé de les reproduire.
* * *
La liste et la contribution au Maamad ont bien été reçues. Je les ai transmises au Rabbi, le 10 Kislev.
Chaque collecteur principal du Maamad a reçu un Torat Chalom et vous consulterez la fin du premier paragraphe du fascicule qui définit la paix comme la perfection de la finalité ultime.
Notes
(1) Cette lettre a été adressée à de nombreuses personnes. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) De l'Admour Hazaken, le 19 Kislev.
(3) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Chlomo ‘Haïm Kasselman, de Terre Sainte. Voir, à son propos, la lettre n°425.
(4) Le Rav Pin’has Althuiz, qui revenait de Terre Sainte.
(5) Le Rav Moché Gour Aryé, de Tel Aviv, responsable du Maamad pour la Terre Sainte. Voir, à propos du Maamad, les lettres n°513 et 520.
(6) La première était à Lod et la seconde, à Tel Aviv. Le Rav Kasselman était alors le guide spirituel de l’une et de l’autre.
(7) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Nissan Nemanov, de Brunoy, France. Voir, à son propos, la lettre n°440.
(8) Du précédent Rabbi.
(9) De la région parisienne.
(10) Shekels.
(11) Voir, à ce propos, la lettre n°557.
(12) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Mena’hem Zeev Gringlass, de Montréal. Voir, à son propos, la lettre n°419.
(13) Dont le précédent Rabbi avait demandé la réimpression.
(14) Les descendants de l’auteur.
(15) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Ch. D.
548*
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5710,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ... Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Comme convenu, je vous transmets le compte rendu des discours de Chemini Atséret et Sim’hat Torah, qui a eu le mérite d’être relu par mon beau-père, le Rabbi Chlita. Mais, vous vous souvenez sans doute des explications qui ont alors été données et qui doivent éclairer les jours de toute l’année.
Je vous joins également une photocopie d’une lettre de mon beau-père, le Rabbi Chlita et le fascicule édité à l’occasion du 19 Kislev, qui approche. A n’en pas douter, vous l’étudierez avec toute l’attention qui convient et vous vous efforcerez de mettre en pratique ce que disent ces lettres.
Vous consulterez également le discours ‘hassidique qui figure dans ce fascicule et décrit l’importance de la paix, de la bénédiction des Cohanim. Vous connaissez l’affirmation de nos Sages, décrivant la grandeur d’Aharon. Celui-ci "aimait la paix et poursuivait la paix". Mais, il ne se contentait pas de cela et, en outre, il "aimait les créatures", selon l’explication que le Tanya, au chapitre 32, donne de cette expression et "les rapprochait de la Torah".
Ceux qui sont ses descendants doivent donc adopter une attitude similaire.
En vous souhaitant tout le bien,
Rav Mena’hem Schnnerson,
14 Kislev 5710,
Au distingué 'Hassid qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous trouverez ci-joint une photocopie d'une lettre de mon beau-père, le Rabbi Chlita.
A l'occasion de la fête de la libération(2), je vous joins le fascicule qui vient d'être édité. En considérant ce que dit mon beau-père, le Rabbi Chlita, dans ses lettres, au début et à la fin de ce fascicule, vous le mettrez sans doute à la disposition de tout votre entourage. Ceci constituera un bon début en ce sens, qui vous permettra ensuite d'aller de l'avant, tout au long de l'année, depuis ce 19 Kislev jusqu'au prochain.
Nous conclurons en examinant plus profondément les paroles de notre maître et en montrant à quel point sont précis les mots qui semblent n'être qu'une répétition, destinée à insister sur une certaine idée.
Le début de la causerie imprimée au commencement de ce fascicule dit que "la ‘Hassidout permet de faire régner l’ordre dans le désordre et de tranformer le désordre en ordre" ou bien, selon une autre version, "d’introduire l’ordre dans le désordre". Or, n’y a-t-il pas là une seule et même affirmation, exprimée de différentes façons?
Nous donnerons, très brièvement, à ce propos, l’explication suivante. L’ordre et le désordre font allusion aux systèmes de Tikoun et de Tohou ou bien, par la suite, à la Torah et aux Mitsvot, d’une part, aux corps et aux besoins physiques, dans lesquels s’entremêlent le bien et le mal, d’autre part.
Le Baal Chem Tov souligna et l’Admour Hazaken expliqua que l’on ne sert pas D.ieu en se mortifiant et en repoussant le corps, mais, bien au contraire, en l’affinant et en l’élevant, comme l’établit le commentaire du Baal Chem Tov, rapporté par le Hayom Yom, à la page 23, sur le verset "lorsque tu verras l’âne de ton ami".
Bien évidemment, tout cela doit être conforme à l’enseignement de ‘Habad, c'est-à-dire être obtenu progressivement, sans se contenter de ce qui est uniquement superficiel. Vous consulterez, à ce propos, la conclusion du Kountrass Haavoda.
Telle est donc la leçon délivrée par cette causerie, qui précise les différentes étapes du service de D.ieu basé sur la ‘Hassidout:
A) Il faut d’abord introduire l’ordre dans le désordre. Car, au commencement du service de D.ieu, il s’agit bien de deux situations différentes. Néanmoins, l’âme divine peut éclairer l’âme animale et faire qu’elle se taise.
B) On doit ensuite transformer le désordre en ordre, de sorte que le désordre disparaisse, que seul l’ordre règne. Dès lors, l’âme animale prie et étudie la Torah, sous la conduite de l’âme divine. Pour autant, elle ne met pas encore toutes ses forces à la disposition de la sainteté, ce qui est bien la finalité ultime et constitue une situation totalement différente.
C) A ce dernier stade, en effet, on fait régner l’ordre dans le désordre. On possède ainsi les qualités des deux systèmes à la fois, les intenses lumières de Tohou et les puissants réceptacles de Tikoun.
Vous consulterez la fin du discours ‘hassidique de 5709, intitulé "Le pardon se trouve auprès de Toi", qui explique le moyen de se repentir sur le manquement à se limiter et à évaluer une situation. Ce sujet ne sera pas développé ici.
Je vous salue et vous souhaite tout le bien. Je souhaite une bonne fête à toute votre communauté,
M. Schneerson,
* * *
J’ai bien reçu, en leurs temps, vos lettres du 7 et du 27 Tichri(3). J’aurai des nouvelles précises par le Rav P. A.(4). Les comptes du Maamad sont confiés au Rav M. G.(5) et doivent lui être transmis.
Tous ceux qui étudient la Torah, grands et petits, y compris, bien entendu, les classes des Yechivot Tom’heï Temimim et A’heï Temimim(6), apprennent sûrement, de manière systématique, les causeries et les discours ‘hassidiques de mon beau-père, le Rabbi Chlita.
Le Rabbi est, en effet, l’âme collective de notre génération et il faut, en toute chose, se lier à lui, en particulier par l’intermédiaire de son enseignement, puisqu’il est un intermédiaire nous liant à l’Essence de D.ieu.
Ce que vous écrivez est donc en relation avec le Maamad spirituel.
* * *
Vous trouverez ci-joint(7) le compte rendu des discours(8) de Chemini Atséret et de Sim’hat Torah. Comme les fois précédentes, vous les ferez sans doute copier par vos disciples, afin de les mettre à la disposition de toutes les implantations de ‘Hassidim(9).
J’ai transmis trente deux(10) aux éditions Kehot, pour solder la dette contractée par ma mère, puisse-t-elle avoir une longue vie(11). En contrepartie, nous enverrons des publications à la Yechiva Tom’heï Temimim, comme vous me l’avez demandé. Il me semble que, d’après ce que vous m’avez écrit, elle devait, au total, soixante(10).
* * *
Je viens de recevoir un appel téléphonique(12) du Rav M. D. Cohen, qui a apporté ici le Kav Naki(13). Il est dommage que la famille Lawot en repousse l’impression de quelques mois. Et, qui sait si l’on ne trouvera pas alors un autre prétexte?
Lorsque monsieur ... était ici, je lui ai expliqué que l’édition de ce livre était une occasion à saisir, comme vous me l’avez écrit. Il a aussitôt accepté.
* * *
Vous m’avez demandé(15) si celui qui doit dire le Yzkor est également appelé à la Torah, le même jour. Je n’ai jamais vu que l’on adopte une telle pratique. De plus, comment cela est-il possible, puisque l’on n’augmente pas le nombre des appelés à la Torah, à A’haron Chel Pessa’h?
A l’opposé, on doit tenir le montant en bois du Séfer Torah, pendant que l’on prononce le Yzkor. C’est ce que fait mon beau-père, le Rabbi Chlita.
Je n’ai jamais vu que l’on choisisse, pour conduire la prière, à l’issue de Yom Kippour, précisément quelqu’un qui a encore son père et sa mère. A la synagogue, ici, nous n’avons pas une telle pratique.
Comme vous l’avez demandé, vous trouverez ci-joint, en retour, vos listes qui ont été recopiées. Vous continuerez sans doute à nous les adresser et vous voudrez bien, à l’avenir, nous en envoyer d’emblée une copie, car il n’est pas aisé de les reproduire.
* * *
La liste et la contribution au Maamad ont bien été reçues. Je les ai transmises au Rabbi, le 10 Kislev.
Chaque collecteur principal du Maamad a reçu un Torat Chalom et vous consulterez la fin du premier paragraphe du fascicule qui définit la paix comme la perfection de la finalité ultime.
Notes
(1) Cette lettre a été adressée à de nombreuses personnes. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) De l'Admour Hazaken, le 19 Kislev.
(3) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Chlomo ‘Haïm Kasselman, de Terre Sainte. Voir, à son propos, la lettre n°425.
(4) Le Rav Pin’has Althuiz, qui revenait de Terre Sainte.
(5) Le Rav Moché Gour Aryé, de Tel Aviv, responsable du Maamad pour la Terre Sainte. Voir, à propos du Maamad, les lettres n°513 et 520.
(6) La première était à Lod et la seconde, à Tel Aviv. Le Rav Kasselman était alors le guide spirituel de l’une et de l’autre.
(7) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Nissan Nemanov, de Brunoy, France. Voir, à son propos, la lettre n°440.
(8) Du précédent Rabbi.
(9) De la région parisienne.
(10) Shekels.
(11) Voir, à ce propos, la lettre n°557.
(12) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Mena’hem Zeev Gringlass, de Montréal. Voir, à son propos, la lettre n°419.
(13) Dont le précédent Rabbi avait demandé la réimpression.
(14) Les descendants de l’auteur.
(15) Ce paragraphe fut ajouté à la lettre envoyée au Rav Ch. D.
548*
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5710,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav ... Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Comme convenu, je vous transmets le compte rendu des discours de Chemini Atséret et Sim’hat Torah, qui a eu le mérite d’être relu par mon beau-père, le Rabbi Chlita. Mais, vous vous souvenez sans doute des explications qui ont alors été données et qui doivent éclairer les jours de toute l’année.
Je vous joins également une photocopie d’une lettre de mon beau-père, le Rabbi Chlita et le fascicule édité à l’occasion du 19 Kislev, qui approche. A n’en pas douter, vous l’étudierez avec toute l’attention qui convient et vous vous efforcerez de mettre en pratique ce que disent ces lettres.
Vous consulterez également le discours ‘hassidique qui figure dans ce fascicule et décrit l’importance de la paix, de la bénédiction des Cohanim. Vous connaissez l’affirmation de nos Sages, décrivant la grandeur d’Aharon. Celui-ci "aimait la paix et poursuivait la paix". Mais, il ne se contentait pas de cela et, en outre, il "aimait les créatures", selon l’explication que le Tanya, au chapitre 32, donne de cette expression et "les rapprochait de la Torah".
Ceux qui sont ses descendants doivent donc adopter une attitude similaire.
En vous souhaitant tout le bien,
Rav Mena’hem Schnnerson,