Lettre n° 5509
Par la grâce de D.ieu,
12 Sivan 5717,
Brooklyn,
Aux membres du comité de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction des 19 et 26 Iyar. Je suis surpris que vous n’ayez pas discuté de différents points qui auraient dû être portés à l’ordre du jour. Parmi ceux-ci, figuraient, entre autres, les suivants :
En fonction des informations transmises ici par différentes personnes, plusieurs ont voulu ou veulent encore s’installer à Kfar ‘Habad et ils remplissent toutes les conditions pour cela. Or, le comité du Kfar leur a répondu qu’il n’en était pas question, car il n’y a pas de maisons disponibles et cela s’arrête là. Il est bien clair que le Kfar ne se développera pas de cette façon.
En pareil cas, il faut se rendre auprès des institutions concernées et leur demander d’augmenter le nombre de maisons devant être bâties ou bien celles qui le sont actuellement. Bien plus, certains de ceux qui m’ont écrit, à ce propos, sont prêts à donner un apport personnel conséquent. Or, dans le compte-rendu, il n’est pas du tout question de ces demandes et de la réponse qui leur a été faite. Peut-être en est-il ainsi parce que, pour vous, cela est effectivement hors de question. Vous pouvez déduire ma position de ce qui vient d’être dit. Elle est diamétralement opposée à la vôtre.
On est en phase d’installation également dans différents autres villages et l’on peut constater la réussite qui en résulte. A Kfar ‘Habad, on veut également s’installer, mais l’on reste les bras croisés, en la matière. Et l’on se contente de dresser la liste des maisons pour lesquelles un permis de construire a été accordé depuis un an ou deux. Et, si ces maisons sont prises, on fait savoir au demandeur qu’il n’y a rien à faire et point final !
L’inactivité, en la matière, suscite un autre doute. Il en est peut-être de même dans la recherche des débouchés qui doivent renforcer le Kfar et améliorer sa situation matérielle. Il est indispensable qu’il y ait un changement significatif dans cette vision des choses. Puisse D.ieu faire que celui-ci intervienne très vite, pour le bien de Kfar ‘Habad, dans tous les domaines, matériels et spirituels.
De même, je suis surpris que vous ne précisiez pas, dans votre compte-rendu si l’on a déjà évoqué la colonie de vacances de Kfar ‘Habad. Bien plus, les années passées ont fait la preuve qu’une discussion tardive, juste avant son ouverture, entraîne de nombreux inconvénients, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction de réussite en votre sainte mission visant au développement de Kfar ‘Habad et pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
12 Sivan 5717,
Brooklyn,
Aux membres du comité de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction des 19 et 26 Iyar. Je suis surpris que vous n’ayez pas discuté de différents points qui auraient dû être portés à l’ordre du jour. Parmi ceux-ci, figuraient, entre autres, les suivants :
En fonction des informations transmises ici par différentes personnes, plusieurs ont voulu ou veulent encore s’installer à Kfar ‘Habad et ils remplissent toutes les conditions pour cela. Or, le comité du Kfar leur a répondu qu’il n’en était pas question, car il n’y a pas de maisons disponibles et cela s’arrête là. Il est bien clair que le Kfar ne se développera pas de cette façon.
En pareil cas, il faut se rendre auprès des institutions concernées et leur demander d’augmenter le nombre de maisons devant être bâties ou bien celles qui le sont actuellement. Bien plus, certains de ceux qui m’ont écrit, à ce propos, sont prêts à donner un apport personnel conséquent. Or, dans le compte-rendu, il n’est pas du tout question de ces demandes et de la réponse qui leur a été faite. Peut-être en est-il ainsi parce que, pour vous, cela est effectivement hors de question. Vous pouvez déduire ma position de ce qui vient d’être dit. Elle est diamétralement opposée à la vôtre.
On est en phase d’installation également dans différents autres villages et l’on peut constater la réussite qui en résulte. A Kfar ‘Habad, on veut également s’installer, mais l’on reste les bras croisés, en la matière. Et l’on se contente de dresser la liste des maisons pour lesquelles un permis de construire a été accordé depuis un an ou deux. Et, si ces maisons sont prises, on fait savoir au demandeur qu’il n’y a rien à faire et point final !
L’inactivité, en la matière, suscite un autre doute. Il en est peut-être de même dans la recherche des débouchés qui doivent renforcer le Kfar et améliorer sa situation matérielle. Il est indispensable qu’il y ait un changement significatif dans cette vision des choses. Puisse D.ieu faire que celui-ci intervienne très vite, pour le bien de Kfar ‘Habad, dans tous les domaines, matériels et spirituels.
De même, je suis surpris que vous ne précisiez pas, dans votre compte-rendu si l’on a déjà évoqué la colonie de vacances de Kfar ‘Habad. Bien plus, les années passées ont fait la preuve qu’une discussion tardive, juste avant son ouverture, entraîne de nombreux inconvénients, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction de réussite en votre sainte mission visant au développement de Kfar ‘Habad et pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,