Lettre n° 5516
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me demandez comment échapper aux événements malencontreux.
Comme vous le savez, il faut d’abord oublier tout ce qui s’est passé, ne même pas penser à réparer. Vous consulterez, à ce sujet, les responsa du Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 62. Différents passages du Talmud expliquent ce que doit être cet oubli. Il ne faut pas lutter, ce qui irait à l’encontre de l’oubli, mais plutôt se concentrer sur une autre idée, car la pensée fonctionne en permanence et l’on peut oublier une idée uniquement en méditant à une autre. Mieux encore, celle-ci appartient à la lumière de la Torah. En effet, un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité.
L’aide de D.ieu est systématiquement nécessaire. Pour l’obtenir, vous respectez sûrement l’immersion rituelle, instaurée par Ezra. De plus, il serait bon, chaque jour de semaine, après la prière du matin, de donner quelques pièces à la Tsédaka. Nos Sages disent, en effet, que “ Rabbi Eléazar donnait une pièce à un pauvre et il priait ensuite ”. Vous garderez les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Elles sont des pratiques favorables, dans différents domaines.
Bien entendu, vous adopterez tout cela sans en faire le vœu, conformément à la coutume juive actuelle et comme on peut le déduire du Likouteï Torah, à la Parchat Matot, dans le commentaire sur le vœu et du Séfer Ha Mitsvot, du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva des vœux.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
15 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me demandez comment échapper aux événements malencontreux.
Comme vous le savez, il faut d’abord oublier tout ce qui s’est passé, ne même pas penser à réparer. Vous consulterez, à ce sujet, les responsa du Tséma’h Tsédek, porte des additifs, chapitre 62. Différents passages du Talmud expliquent ce que doit être cet oubli. Il ne faut pas lutter, ce qui irait à l’encontre de l’oubli, mais plutôt se concentrer sur une autre idée, car la pensée fonctionne en permanence et l’on peut oublier une idée uniquement en méditant à une autre. Mieux encore, celle-ci appartient à la lumière de la Torah. En effet, un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité.
L’aide de D.ieu est systématiquement nécessaire. Pour l’obtenir, vous respectez sûrement l’immersion rituelle, instaurée par Ezra. De plus, il serait bon, chaque jour de semaine, après la prière du matin, de donner quelques pièces à la Tsédaka. Nos Sages disent, en effet, que “ Rabbi Eléazar donnait une pièce à un pauvre et il priait ensuite ”. Vous garderez les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Elles sont des pratiques favorables, dans différents domaines.
Bien entendu, vous adopterez tout cela sans en faire le vœu, conformément à la coutume juive actuelle et comme on peut le déduire du Likouteï Torah, à la Parchat Matot, dans le commentaire sur le vœu et du Séfer Ha Mitsvot, du Tséma’h Tsédek, à la Mitsva des vœux.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,