Lettre n° 5525
Par la grâce de D.ieu,
18 Sivan 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 12 Sivan, m’annonçant une bonne nouvelle, l’amélioration de l’état de santé de cette femme. Puisse D.ieu faire que cette amélioration se poursuive, jusqu’à ce qu’elle recouvre pleinement ses forces.
Passant d’un bien à un autre, vous m’annoncez également vos efforts, couronnés de succès, pour développer la caisse de bienfaisance de votre synagogue.
Il convient de noter le lien entre les deux éléments. En effet, la synagogue permet à l’homme de formuler ses besoins à D.ieu, au sens le plus littéral, ce qui inclut enfants, santé, prospérité matérielle. Or, pour obtenir, ici-bas, la satisfaction de sa demande, c’est-à-dire pour recevoir, au sens le plus littéral, enfants, santé, prospérité matérielle, il faut donner de la Tsédaka, comme l’expliquent différents passages d’Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken. De plus, la bienfaisance est la forme la plus élevée de la Tsédaka(2). C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire que, encore pendant de nombreuses années, vous fassiez du bien, par l’intermédiaire de cette caisse de bienfaisance, par les actes de bonté, en général, y compris au sens moral, par la diffusion du Judaïsme et surtout des sources(3), en tout endroit où vous exercez votre influence. Cette pratique augmentera également votre réussite dans les actes de bienfaisance que vous prodiguez à celle qui est délaissée(4). De la sorte, vous ferez de bonnes actions matérielles et spirituelles. Et, vous consulterez, à ce propos, le Tanya, au début du chapitre 29.
Avec ma bénédiction, selon la formule de mon beau-père, le Rabbi, afin de passer l’été en bonne santé et dans la joie,
Notes
(1) Le Rav Y. Horowitz, de Ramat Gan.
(2) Puisqu’elle permet également d’accorder des prêts à ceux qui ne sont pas pauvres, s’étendant ainsi à tous.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Au corps. On peut ainsi recevoir une bonne santé.
18 Sivan 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 12 Sivan, m’annonçant une bonne nouvelle, l’amélioration de l’état de santé de cette femme. Puisse D.ieu faire que cette amélioration se poursuive, jusqu’à ce qu’elle recouvre pleinement ses forces.
Passant d’un bien à un autre, vous m’annoncez également vos efforts, couronnés de succès, pour développer la caisse de bienfaisance de votre synagogue.
Il convient de noter le lien entre les deux éléments. En effet, la synagogue permet à l’homme de formuler ses besoins à D.ieu, au sens le plus littéral, ce qui inclut enfants, santé, prospérité matérielle. Or, pour obtenir, ici-bas, la satisfaction de sa demande, c’est-à-dire pour recevoir, au sens le plus littéral, enfants, santé, prospérité matérielle, il faut donner de la Tsédaka, comme l’expliquent différents passages d’Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken. De plus, la bienfaisance est la forme la plus élevée de la Tsédaka(2). C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire que, encore pendant de nombreuses années, vous fassiez du bien, par l’intermédiaire de cette caisse de bienfaisance, par les actes de bonté, en général, y compris au sens moral, par la diffusion du Judaïsme et surtout des sources(3), en tout endroit où vous exercez votre influence. Cette pratique augmentera également votre réussite dans les actes de bienfaisance que vous prodiguez à celle qui est délaissée(4). De la sorte, vous ferez de bonnes actions matérielles et spirituelles. Et, vous consulterez, à ce propos, le Tanya, au début du chapitre 29.
Avec ma bénédiction, selon la formule de mon beau-père, le Rabbi, afin de passer l’été en bonne santé et dans la joie,
Notes
(1) Le Rav Y. Horowitz, de Ramat Gan.
(2) Puisqu’elle permet également d’accorder des prêts à ceux qui ne sont pas pauvres, s’étendant ainsi à tous.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Au corps. On peut ainsi recevoir une bonne santé.