Lettre n° 5535
Par la grâce de D.ieu,
21 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Pour qu’il y ait des fiançailles, il faut, bien entendu, qu’il y ait plein accord et bon vouloir des deux parties. Néanmoins, vous devez expliquer à votre fille qu’à notre époque, on doit rechercher la satisfaction des points essentiels, c’est-à-dire la crainte de D.ieu, la Torah et les Mitsvot, qui sont la finalité de l’homme. Il n’y a donc pas lieu d’ajouter d’autres conditions, dans des domaines qui ne sont pas déterminants. En effet, il n’est pas toujours possible de réunir les unes et les autres. Or, entre l’essentiel et ce qui est purement accessoire, il est bien évident que l’essentiel doit être privilégié.
Quand deux Juifs se rencontrent, il est clair qu’il doit en résulter un ajout à la Torah et aux Mitsvot. Je saisis donc cette opportunité pour vous souligner ce qui est une nécessité absolue, à notre époque. Il faut fixer un temps pour étudier la ‘Hassidout, d’autant que vous me précisez de quelle lignée vous êtes issu. Et, vous ne vous contenterez pas de votre propre personne, en la matière. Vous influencerez également votre entourage en ce sens. Vous y diffuserez les sources de cet enseignement.
Bien entendu, ceci s’ajoute aux trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Ce sont les suivantes :
A) les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin,
B) le ‘Houmach avec le commentaire de Rachi de la Sidra de la semaine, le dimanche depuis son début jusqu’au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite,
C) le Tanya, que l’on apprend quotidiennement, selon sa répartition annuelle.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
21 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Pour qu’il y ait des fiançailles, il faut, bien entendu, qu’il y ait plein accord et bon vouloir des deux parties. Néanmoins, vous devez expliquer à votre fille qu’à notre époque, on doit rechercher la satisfaction des points essentiels, c’est-à-dire la crainte de D.ieu, la Torah et les Mitsvot, qui sont la finalité de l’homme. Il n’y a donc pas lieu d’ajouter d’autres conditions, dans des domaines qui ne sont pas déterminants. En effet, il n’est pas toujours possible de réunir les unes et les autres. Or, entre l’essentiel et ce qui est purement accessoire, il est bien évident que l’essentiel doit être privilégié.
Quand deux Juifs se rencontrent, il est clair qu’il doit en résulter un ajout à la Torah et aux Mitsvot. Je saisis donc cette opportunité pour vous souligner ce qui est une nécessité absolue, à notre époque. Il faut fixer un temps pour étudier la ‘Hassidout, d’autant que vous me précisez de quelle lignée vous êtes issu. Et, vous ne vous contenterez pas de votre propre personne, en la matière. Vous influencerez également votre entourage en ce sens. Vous y diffuserez les sources de cet enseignement.
Bien entendu, ceci s’ajoute aux trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues. Ce sont les suivantes :
A) les Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin,
B) le ‘Houmach avec le commentaire de Rachi de la Sidra de la semaine, le dimanche depuis son début jusqu’au Chéni, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite,
C) le Tanya, que l’on apprend quotidiennement, selon sa répartition annuelle.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,