Lettre n° 5557
Par la grâce de D.ieu,
28 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Sivan, dans laquelle vous me parlez de votre état de santé et vous me décrivez vos douleurs. A plusieurs reprises, vous avez guéri, puis vous avez connu une rechute.
Il serait bon que vous recherchiez un médecin spécialiste, en ce domaine et vous vous conformerez à ses prescriptions. La Torah a autorisé le médecin à guérir, mais il bien évident que, s’il lui arrive parfois, d’exprimer le contraire de la bénédiction, il devient ainsi l’une des causes de détérioration de la santé de l’âme et donc de celle du corps. En effet, le verset, faisant allusion à chaque Juif, dit : “ Je bénirai ceux qui te béniront ”.
Cette attitude doit être encore plus clairement exclue parce que, comme vous l’écrivez, vous assumez une mission sacrée, celle de scribe. Et, vous savez que les écrits du Ari Zal condamnent, en des termes effroyables, la colère, affirmant que celui qui s’emporte change d’âme. Et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident, ainsi qu’il est dit : “ Comme le visage se reflète dans l’eau, le cœur de l’homme se reflète en celui de l’homme ”. En conséquence, quand on sait se maîtriser, que l’on dit uniquement des bénédictions et des bonnes paroles, on transforme également le cœur de son épouse. Dès lors, la paix et la joie règnent dans le foyer.
Vous étudierez, avec l’approfondissement qui convient, Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, au chapitre 25. Ce texte commente avec précision l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ celui qui se met en colère est considéré comme s’il servait les idoles ”.
Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin, en particulier celles de la tête. Et, chaque jour, après la prière du matin, vous lirez des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, sans en faire le vœu.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
28 Sivan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Sivan, dans laquelle vous me parlez de votre état de santé et vous me décrivez vos douleurs. A plusieurs reprises, vous avez guéri, puis vous avez connu une rechute.
Il serait bon que vous recherchiez un médecin spécialiste, en ce domaine et vous vous conformerez à ses prescriptions. La Torah a autorisé le médecin à guérir, mais il bien évident que, s’il lui arrive parfois, d’exprimer le contraire de la bénédiction, il devient ainsi l’une des causes de détérioration de la santé de l’âme et donc de celle du corps. En effet, le verset, faisant allusion à chaque Juif, dit : “ Je bénirai ceux qui te béniront ”.
Cette attitude doit être encore plus clairement exclue parce que, comme vous l’écrivez, vous assumez une mission sacrée, celle de scribe. Et, vous savez que les écrits du Ari Zal condamnent, en des termes effroyables, la colère, affirmant que celui qui s’emporte change d’âme. Et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident, ainsi qu’il est dit : “ Comme le visage se reflète dans l’eau, le cœur de l’homme se reflète en celui de l’homme ”. En conséquence, quand on sait se maîtriser, que l’on dit uniquement des bénédictions et des bonnes paroles, on transforme également le cœur de son épouse. Dès lors, la paix et la joie règnent dans le foyer.
Vous étudierez, avec l’approfondissement qui convient, Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, au chapitre 25. Ce texte commente avec précision l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ celui qui se met en colère est considéré comme s’il servait les idoles ”.
Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin, en particulier celles de la tête. Et, chaque jour, après la prière du matin, vous lirez des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, sans en faire le vœu.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,