Lettre n° 5573
Par la grâce de D.ieu,
4 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
rend le jugement, dirige sa communauté dans
la droiture, le Rav Yehouda(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
Votre lettre du vingtième jour du mois du don de notre Torah(2) m’est bien parvenue et, en un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, en fonction de ce que vous écrivez.
Ces jours sont propices pour que soit exaucée une demande de profonde miséricorde, sollicitée par mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. En effet, comme c’est le cas pour chaque berger fidèle, celui-ci se consacrait à son troupeau, lors de sa vie physique, dans ce monde et, de même, il continue à le faire, là-haut, afin d’obtenir la satisfaction des besoins de ceux qui sont liés ou attachés à lui, au sein de tout Israël. Or, est lié et attaché à lui celui qui se trouve sur le droit chemin qu’il nous a enseigné, qui suit ses pratiques et sa voie, comme l’explique l’Admour Hazaken, auteur du Choul’han Arou’h et du Tanya, dans Iguéret Ha Kodech, au chapitre 27.
Or, nous approchons des jours de sa délivrance, les 12 et 13 Tamouz. En effet, il fut emprisonné à cause de l’abnégation dont il fit preuve pour la diffusion du Judaïsme, de la Torah et de ses Mitsvot. Et vous connaissez l’interprétation que donne le Ari Zal(3) du verset : “ Ces jours sont commémorés et revécus ”. Il explique que, s’ils sont commémorés avec l’inspiration qui convient, ils se révèlent pleinement, de manière nouvelle et sont revécus comme la première fois.
A l’époque, on observa des miracles surnaturels et le présent moment est donc propice pour cela. C’est un temps favorable pour que soient exaucés ceux que sont liés et attachés à la Torah et aux Mitsvot, dans tous les domaines qui permettent de les mettre en pratique, lesquels sont regroupés en trois catégories, enfants, santé et prospérité matérielle. Et, s’il en est ainsi pour chacun, combien plus est-ce le cas pour un Rav, dirigeant une communauté juive. La largesse, en tout ce qui le concerne, provoquera celle de toute sa sainte communauté.
Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav Y. Chetrit, rabbin d’Agadir, Maroc.
(2) Sivan.
4 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
rend le jugement, dirige sa communauté dans
la droiture, le Rav Yehouda(1) Chlita,
Je vous salue et vous bénis,
Votre lettre du vingtième jour du mois du don de notre Torah(2) m’est bien parvenue et, en un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, en fonction de ce que vous écrivez.
Ces jours sont propices pour que soit exaucée une demande de profonde miséricorde, sollicitée par mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. En effet, comme c’est le cas pour chaque berger fidèle, celui-ci se consacrait à son troupeau, lors de sa vie physique, dans ce monde et, de même, il continue à le faire, là-haut, afin d’obtenir la satisfaction des besoins de ceux qui sont liés ou attachés à lui, au sein de tout Israël. Or, est lié et attaché à lui celui qui se trouve sur le droit chemin qu’il nous a enseigné, qui suit ses pratiques et sa voie, comme l’explique l’Admour Hazaken, auteur du Choul’han Arou’h et du Tanya, dans Iguéret Ha Kodech, au chapitre 27.
Or, nous approchons des jours de sa délivrance, les 12 et 13 Tamouz. En effet, il fut emprisonné à cause de l’abnégation dont il fit preuve pour la diffusion du Judaïsme, de la Torah et de ses Mitsvot. Et vous connaissez l’interprétation que donne le Ari Zal(3) du verset : “ Ces jours sont commémorés et revécus ”. Il explique que, s’ils sont commémorés avec l’inspiration qui convient, ils se révèlent pleinement, de manière nouvelle et sont revécus comme la première fois.
A l’époque, on observa des miracles surnaturels et le présent moment est donc propice pour cela. C’est un temps favorable pour que soient exaucés ceux que sont liés et attachés à la Torah et aux Mitsvot, dans tous les domaines qui permettent de les mettre en pratique, lesquels sont regroupés en trois catégories, enfants, santé et prospérité matérielle. Et, s’il en est ainsi pour chacun, combien plus est-ce le cas pour un Rav, dirigeant une communauté juive. La largesse, en tout ce qui le concerne, provoquera celle de toute sa sainte communauté.
Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le Rav Y. Chetrit, rabbin d’Agadir, Maroc.
(2) Sivan.