Lettre n° 5574
Par la grâce de D.ieu,
4 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Aryé Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me dites que l’activité des femmes ‘Habad, dans votre ville, s’est affaiblie.
Je vous joins une copie de ma lettre adressée à toutes, à l’occasion de la réunion des femmes et jeunes filles ‘Habad. Vous trouverez sûrement les mots pour l’expliquer, de la manière qui convient, dans votre entourage. Il est nécessaire non seulement de renforcer l’activité qui a été menée jusqu’à maintenant, mais aussi de la développer. Il est donc une certitude que vous en avez les moyens. Bien entendu, il faut profiter des jours propices que sont les 12 et 13 Tamouz, en rappelant de quelle manière celui dont nous célébrons la joie, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, considérait la mission fondamentale confiée aux femmes.
Vous faites référence au repas de Mitsva(2). Il faut vérifier s’il existe une coutume locale, en pareil cas. Si ce n’est pas le cas, vous le fixerez en son temps, c’est-à-dire la veille du 8 Mena’hem Av. Si c’est impossible, pour une quelconque raison, ce sera le Chabbat suivant.
Puisse D.ieu faire que, de l’âge de treize ans, il atteigne celui de quinze et l’étude de la Guemara. Vous et votre épouse concevrez de lui et de tous vos enfants beaucoup de satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction juive et ‘hassidique.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav A. L. Lipsker, de Lod. Voir, à son sujet, les lettres n°910 et 973.
(2) A l’occasion de la Bar Mitsva du fils du Rav Lipsker, qui devait avoir lieu le 8 Mena’hem Av.
4 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Aryé Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me dites que l’activité des femmes ‘Habad, dans votre ville, s’est affaiblie.
Je vous joins une copie de ma lettre adressée à toutes, à l’occasion de la réunion des femmes et jeunes filles ‘Habad. Vous trouverez sûrement les mots pour l’expliquer, de la manière qui convient, dans votre entourage. Il est nécessaire non seulement de renforcer l’activité qui a été menée jusqu’à maintenant, mais aussi de la développer. Il est donc une certitude que vous en avez les moyens. Bien entendu, il faut profiter des jours propices que sont les 12 et 13 Tamouz, en rappelant de quelle manière celui dont nous célébrons la joie, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, considérait la mission fondamentale confiée aux femmes.
Vous faites référence au repas de Mitsva(2). Il faut vérifier s’il existe une coutume locale, en pareil cas. Si ce n’est pas le cas, vous le fixerez en son temps, c’est-à-dire la veille du 8 Mena’hem Av. Si c’est impossible, pour une quelconque raison, ce sera le Chabbat suivant.
Puisse D.ieu faire que, de l’âge de treize ans, il atteigne celui de quinze et l’étude de la Guemara. Vous et votre épouse concevrez de lui et de tous vos enfants beaucoup de satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction juive et ‘hassidique.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav A. L. Lipsker, de Lod. Voir, à son sujet, les lettres n°910 et 973.
(2) A l’occasion de la Bar Mitsva du fils du Rav Lipsker, qui devait avoir lieu le 8 Mena’hem Av.