Lettre n° 5594
Par la grâce de D.ieu,
9 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Lipman(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Bien entendu, il faut poursuivre l’effort pour que les jeunes gens maintiennent leur étude de la ‘Hassidout. Sans doute, cela sera-t-il durable si vous les rencontrez, de temps à autre, avec tous les autres ‘Hassidim. Il n’en sera pas de même si on les laisse livrés à leur sort. En y réfléchissant, vous trouverez sûrement plusieurs façons de mettre tout cela en pratique.
Je vous joins la transcription de ce qui a été dit, lors de la réunion ‘hassidique du Chabbat qui bénit le mois de Tamouz(2). A n’en pas douter, dans votre ville, une réunion ‘hassidique aura lieu, au jour de la fête de la libération. Son inspiration sera conservée pendant toute l’année, en tout endroit que vous pourrez atteindre. Puisse D.ieu faire que vous ayez une considérable réussite.
Avec ma bénédiction, à l’occasion de la fête de la libération et pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : D’après la rumeur parvenue jusqu’ici, il semble que, si vous interveniez plus directement, à propos du lait surveillé, sa production serait plus stable et d’un meilleur standard de Cacherout. Or, nos Sages disent que “ un homme détient au moins un peu de ce que l’on soupçonne qu’il possède ”, d’autant qu’en l’occurrence, on le savait déjà auparavant.
Notes
(1) Le Rav L. Shapiro, de Cleveland.
(2) A propos de l’importance du trentième anniversaire de la libération du précédent Rabbi des prisons soviétiques, le 12 Tamouz.
9 Tamouz 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Lipman(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Bien entendu, il faut poursuivre l’effort pour que les jeunes gens maintiennent leur étude de la ‘Hassidout. Sans doute, cela sera-t-il durable si vous les rencontrez, de temps à autre, avec tous les autres ‘Hassidim. Il n’en sera pas de même si on les laisse livrés à leur sort. En y réfléchissant, vous trouverez sûrement plusieurs façons de mettre tout cela en pratique.
Je vous joins la transcription de ce qui a été dit, lors de la réunion ‘hassidique du Chabbat qui bénit le mois de Tamouz(2). A n’en pas douter, dans votre ville, une réunion ‘hassidique aura lieu, au jour de la fête de la libération. Son inspiration sera conservée pendant toute l’année, en tout endroit que vous pourrez atteindre. Puisse D.ieu faire que vous ayez une considérable réussite.
Avec ma bénédiction, à l’occasion de la fête de la libération et pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : D’après la rumeur parvenue jusqu’ici, il semble que, si vous interveniez plus directement, à propos du lait surveillé, sa production serait plus stable et d’un meilleur standard de Cacherout. Or, nos Sages disent que “ un homme détient au moins un peu de ce que l’on soupçonne qu’il possède ”, d’autant qu’en l’occurrence, on le savait déjà auparavant.
Notes
(1) Le Rav L. Shapiro, de Cleveland.
(2) A propos de l’importance du trentième anniversaire de la libération du précédent Rabbi des prisons soviétiques, le 12 Tamouz.