Lettre n° 5599
[11 Tamouz 5717]
Concernant la possibilité de laisser un Séfer Torah qui n’a pas été corrigé(1), en faisant une modification, par exemple en plaçant la ceinture au dessus du manteau(2), il existe une discussion dans les responsa Min’hat Eléazar, tome 3, chapitre 52 et Zé’her Yehossef, chapitre 37, dont la conclusion est que cela est permis.
Aucune preuve ne peut être tirée du Séfer ‘Hassidim, au chapitre 934. En effet, celui-ci fait allusion à ceux qui sont déchirés ou effacés, ce qui est différent, puisque aucun incident ne peut en résulter(3). Mais, l’on peut encore s’interroger, à ce sujet.
Notes
(1) Dans la synagogue, après qu’une erreur ait été constatée, avec le risque qu’il soit lu encore une fois.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°5046.
(3) Dès lors qu’il est impossible de le lire.
Concernant la possibilité de laisser un Séfer Torah qui n’a pas été corrigé(1), en faisant une modification, par exemple en plaçant la ceinture au dessus du manteau(2), il existe une discussion dans les responsa Min’hat Eléazar, tome 3, chapitre 52 et Zé’her Yehossef, chapitre 37, dont la conclusion est que cela est permis.
Aucune preuve ne peut être tirée du Séfer ‘Hassidim, au chapitre 934. En effet, celui-ci fait allusion à ceux qui sont déchirés ou effacés, ce qui est différent, puisque aucun incident ne peut en résulter(3). Mais, l’on peut encore s’interroger, à ce sujet.
Notes
(1) Dans la synagogue, après qu’une erreur ait été constatée, avec le risque qu’il soit lu encore une fois.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°5046.
(3) Dès lors qu’il est impossible de le lire.