Lettre n° 561
Par la grâce de D.ieu,
Roch ‘Hodech Adar 5710,
Brooklyn, New York,
Vous savez ce que dit Igueret Hakodech, au chapitre 27(1): "Pour consoler doublement ceux qui sont meurtris, blessés et douloureux"(2) parce que "le Juste a quitté ce monde, laissant la vie à tous ceux qui étaient liés à lui... chacun selon son attachement sincère, son amour véritable et pur".
Le livre expliquant l’importance de se rendre auprès du tombeau du Juste précise que "ceux qui ne l’on pas connu et ne l’ont pas vu, mais ont seulement étudié les ouvrages qu’il a laissés, reçu la lumière de son enseignement et se sont, de cette façon, renforcés dans leur service de D.ieu, peuvent, bien sûr, être considérés comme ses disciples. Ils ont foi en ce Juste et bénéficient de la clarté de son enseignement. Les feuilles de l’arbre sont également liées à ses racines".
Mon beau-père, le Rabbi, explique, dans une lettre, que "un profond désir de s’attacher au maître ne peut être satisfait qu’en étudiant les discours ‘hassidiques qu’il prononce et rédige. Car, voir son visage ne suffit pas".
Dans une seconde lettre, il précise que "celui qui se demande comment il peut s’attacher à moi, dans la mesure où je ne le connais pas personnellement, doit savoir qu’il peut le faire sincèrement en étudiant la Torah. S’il apprend mes discours, lit mes causeries, se lie d’amitié avec mes amis, les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva, participe à leurs études et à leurs réunions, accède à ma requête de lire des Tehilim(3), respecte le temps de l’étude, il sera réellement attaché à moi".
En étudiant son enseignement et ses causeries, en suivant le chemin qu’il a tracé pour nous, nous susciterons son esprit au fond de nous et, en ce monde matériel, où seule l’action compte, il sera encore plus présent. Et il continuera à assumer sa mission, comme il l’a fait jusqu’à maintenant.
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir également la lettre n°696.
(2) Le Rabbi note, en bas de page: "Vous consulterez le Or Hatorah du Tséma’h Tsédek, Parchat Chemot, page 64, à propos de cette douleur".
(3) Le Rabbi note, en bas de page: "Lorsque cette lettre fut écrite, l’étude quotidienne du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi et celle du Tanya, selon sa répartition annuelle, n’avaient pas encore été diffusées".
Roch ‘Hodech Adar 5710,
Brooklyn, New York,
Vous savez ce que dit Igueret Hakodech, au chapitre 27(1): "Pour consoler doublement ceux qui sont meurtris, blessés et douloureux"(2) parce que "le Juste a quitté ce monde, laissant la vie à tous ceux qui étaient liés à lui... chacun selon son attachement sincère, son amour véritable et pur".
Le livre expliquant l’importance de se rendre auprès du tombeau du Juste précise que "ceux qui ne l’on pas connu et ne l’ont pas vu, mais ont seulement étudié les ouvrages qu’il a laissés, reçu la lumière de son enseignement et se sont, de cette façon, renforcés dans leur service de D.ieu, peuvent, bien sûr, être considérés comme ses disciples. Ils ont foi en ce Juste et bénéficient de la clarté de son enseignement. Les feuilles de l’arbre sont également liées à ses racines".
Mon beau-père, le Rabbi, explique, dans une lettre, que "un profond désir de s’attacher au maître ne peut être satisfait qu’en étudiant les discours ‘hassidiques qu’il prononce et rédige. Car, voir son visage ne suffit pas".
Dans une seconde lettre, il précise que "celui qui se demande comment il peut s’attacher à moi, dans la mesure où je ne le connais pas personnellement, doit savoir qu’il peut le faire sincèrement en étudiant la Torah. S’il apprend mes discours, lit mes causeries, se lie d’amitié avec mes amis, les ‘Hassidim et les élèves de la Yechiva, participe à leurs études et à leurs réunions, accède à ma requête de lire des Tehilim(3), respecte le temps de l’étude, il sera réellement attaché à moi".
En étudiant son enseignement et ses causeries, en suivant le chemin qu’il a tracé pour nous, nous susciterons son esprit au fond de nous et, en ce monde matériel, où seule l’action compte, il sera encore plus présent. Et il continuera à assumer sa mission, comme il l’a fait jusqu’à maintenant.
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir également la lettre n°696.
(2) Le Rabbi note, en bas de page: "Vous consulterez le Or Hatorah du Tséma’h Tsédek, Parchat Chemot, page 64, à propos de cette douleur".
(3) Le Rabbi note, en bas de page: "Lorsque cette lettre fut écrite, l’étude quotidienne du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi et celle du Tanya, selon sa répartition annuelle, n’avaient pas encore été diffusées".