Lettre n° 562
Par la grâce de D.ieu,
5 Adar 5710,
Au distingué ’Hassid qui craint D.ieu,
le Rav N. N.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos questions personnelles(2):
A mon humble avis, vous devez réjouir les mariés avec des mélodies ‘Habad. Nos Sages expliquent le mérite que l’on s’acquiert en les réjouissant et puissions-nous obtenir, très bientôt et de nos jours, la voix du fiancé et celle de la fiancée et que D.ieu réjouisse l’un et l’autre.
On sait que les maîtres de la ‘Hassidout et, en particulier, le Rabbi Maharach, d’après ce que j’ai entendu, ajoutaient, lorsqu’ils prononçaient un discours ‘hassidique, quelques mots qui s’adressaient uniquement à certaines personnes. Chacun entendait uniquement ce qui le concernait. Mais, le Rabbi(3) demanda à son père de pouvoir entendre également ces mots-là et cela lui fut accordé. C’est ce que m’a rapporté mon beau-père, le Rabbi.
Dans le discours qu’il a donné pour le jour de son décès, le Rabbi dit également des mots merveilleux et, à mon humble avis, la réponse à la question que vous posez s’y trouve, au début du paragraphe 5. Vous percevrez donc le sens profond de ce paragraphe et vous en ferez part aux mariés et à tous les invités.
Je conclurai en adressant aux mariés ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Que leur union soit fructueuse et qu’ils bâtissent un foyer juif, qu’ils soient bénis d’enfants intègres, de sorte que ce foyer soit, à l’évidence, un édifice éternel.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Nissan Nemanov. Voir la lettre n°440.
(2) Portant sur le mariage de sa fille avec le Rav Chalom Dov Ber Pevsner, le 11 Adar, pendant la période du deuil de Rabbi Yossef Its’hak.
(3) Rachab, fils du Rabbi Maharach.
5 Adar 5710,
Au distingué ’Hassid qui craint D.ieu,
le Rav N. N.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à vos questions personnelles(2):
A mon humble avis, vous devez réjouir les mariés avec des mélodies ‘Habad. Nos Sages expliquent le mérite que l’on s’acquiert en les réjouissant et puissions-nous obtenir, très bientôt et de nos jours, la voix du fiancé et celle de la fiancée et que D.ieu réjouisse l’un et l’autre.
On sait que les maîtres de la ‘Hassidout et, en particulier, le Rabbi Maharach, d’après ce que j’ai entendu, ajoutaient, lorsqu’ils prononçaient un discours ‘hassidique, quelques mots qui s’adressaient uniquement à certaines personnes. Chacun entendait uniquement ce qui le concernait. Mais, le Rabbi(3) demanda à son père de pouvoir entendre également ces mots-là et cela lui fut accordé. C’est ce que m’a rapporté mon beau-père, le Rabbi.
Dans le discours qu’il a donné pour le jour de son décès, le Rabbi dit également des mots merveilleux et, à mon humble avis, la réponse à la question que vous posez s’y trouve, au début du paragraphe 5. Vous percevrez donc le sens profond de ce paragraphe et vous en ferez part aux mariés et à tous les invités.
Je conclurai en adressant aux mariés ma bénédiction de Mazal Tov, Mazal Tov. Que leur union soit fructueuse et qu’ils bâtissent un foyer juif, qu’ils soient bénis d’enfants intègres, de sorte que ce foyer soit, à l’évidence, un édifice éternel.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Nissan Nemanov. Voir la lettre n°440.
(2) Portant sur le mariage de sa fille avec le Rav Chalom Dov Ber Pevsner, le 11 Adar, pendant la période du deuil de Rabbi Yossef Its’hak.
(3) Rachab, fils du Rabbi Maharach.