Lettre n° 5674
Par la grâce de D.ieu,
24 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il vous est difficile de vous dominer, dans un certain domaine et que vous ne savez comment y parvenir. Vous savez que le début de la réparation est d’abord de faire un effort pour oublier ce qui s’est passé. Cet oubli consiste également à ne pas lutter contre ces pensées, à ne pas engager le dialogue avec le mauvais penchant, qui incite et suggère de telles pensées. Il faut donc investir sa pensée dans le domaine opposé, c’est-à-dire dans la Torah, qualifiée de “ Torah de lumière ”.
Il serait bon de graver en votre esprit quelques chapitres de Michna et au moins un de Tanya. Chaque jour de semaine, avant la prière du matin, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka. Après la prière, y compris le Chabbat et les fêtes, vous lirez des Tehilim, selon leur répartition mensuelle. Bien entendu, vous devez respecter l’immersion rituelle d’Ezra et surtout regretter ce qui s’est passé, préserver ses yeux de voir ou de lire ce qui suscite le désir ou l’excitation. Vous renforcerez votre confiance en le Saint béni soit-Il, qui a donné l’assurance que “ nul d’entre nous ne sera écarté ”. Et, même si l’on trébuche, ce qu’à D.ieu ne plaise, la tristesse doit être exclue, comme l’explique longuement le Tanya.
Vous étudiez sûrement ce livre. Si vous n’avez pas encore fixé une telle étude, vous le ferez maintenant. Vous trouverez un index, à la fin du Tanya, dans lequel vous verrez quels chapitres soulignent qu’il est interdit d’être triste et expliquent à quoi l’on doit réfléchir, si l’on trébuche, en la matière. Vous consulterez ces textes. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
24 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il vous est difficile de vous dominer, dans un certain domaine et que vous ne savez comment y parvenir. Vous savez que le début de la réparation est d’abord de faire un effort pour oublier ce qui s’est passé. Cet oubli consiste également à ne pas lutter contre ces pensées, à ne pas engager le dialogue avec le mauvais penchant, qui incite et suggère de telles pensées. Il faut donc investir sa pensée dans le domaine opposé, c’est-à-dire dans la Torah, qualifiée de “ Torah de lumière ”.
Il serait bon de graver en votre esprit quelques chapitres de Michna et au moins un de Tanya. Chaque jour de semaine, avant la prière du matin, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka. Après la prière, y compris le Chabbat et les fêtes, vous lirez des Tehilim, selon leur répartition mensuelle. Bien entendu, vous devez respecter l’immersion rituelle d’Ezra et surtout regretter ce qui s’est passé, préserver ses yeux de voir ou de lire ce qui suscite le désir ou l’excitation. Vous renforcerez votre confiance en le Saint béni soit-Il, qui a donné l’assurance que “ nul d’entre nous ne sera écarté ”. Et, même si l’on trébuche, ce qu’à D.ieu ne plaise, la tristesse doit être exclue, comme l’explique longuement le Tanya.
Vous étudiez sûrement ce livre. Si vous n’avez pas encore fixé une telle étude, vous le ferez maintenant. Vous trouverez un index, à la fin du Tanya, dans lequel vous verrez quels chapitres soulignent qu’il est interdit d’être triste et expliquent à quoi l’on doit réfléchir, si l’on trébuche, en la matière. Vous consulterez ces textes. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,