Lettre n° 5679
Par la grâce de D.ieu,
25 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre état d’esprit, l’avis des médecins et vos grandes souffrances. Je suis surpris par tout cela. Vous êtes encore jeune et vous avez déjà le mérite de vous consacrer à l’éducation positive, c’est-à-dire de rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Or, si un homme de chair et d’os est reconnaissant, s’il fait tout ce qui est en son pouvoir pour remercier celui qui rapproche de lui le cœur de ses enfants, combien plus en est-il ainsi pour notre Père Qui se trouve dans les cieux, Qui est l’Essence du bien et Tout Puissant. Il est certain qu’Il accorde la bénédiction et la réussite à tous ceux qui s’efforcent de rapprocher de Lui les cœurs de Ses enfants. Or, si “ D.ieu est avec moi ”, il est bien évident que “ je n’ai pas peur de ce qu’un homme peut me faire ”, comme l’affirme notre Torah, Torah de vie.
Il est clair que chacun peut connaître des évolutions, y compris moralement. Pour autant, il est certain également qu’il ne faut pas les aggraver et les exagérer. Une sensation désagréable n’est, après tout, que passagère et, pour qu’elle passe au plus vite, il faut avoir recours à l’idée précédemment définie. Bien plus, vous devez vous rappeler d’un des principes fondamentaux de notre foi, particulièrement bien expliqué par la ‘Hassidout, celui de la divine Providence. En effet, au sens le plus littéral, D.ieu protège chacun, en tout ce qui le concerne, jusque dans le moindre détail.
Après l’éducation que vous avez reçue, j’espère que ces quelques lignes seront suffisantes pour vous faire prendre conscience de la vérité. Nous nous trouvons dans un monde duquel le Créateur dit : “ Et, D.ieu vit qu’il était bon ”, comme l’expliqua longuement notre grand maître, le Rambam, dans ses livres. Toutefois, l’homme ne doit pas vouloir établir de nombreux comptes, cachant la réalité et falsifiant la vérité. L’idée centrale de tout cela est la suivante. Cessez de penser à votre état d’esprit ! Que votre foi en le Créateur du monde, Qui protège chacun et chacune, vous emplisse de vitalité, d’empressement et de joie, dans tous les domaines. Ayez une vie simple, sans pensées compliquées. Soyez heureuse, sur la voie de la Torah et des Mitsvot.
Dans l’attente de bonnes nouvelles de tout cela,
25 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre état d’esprit, l’avis des médecins et vos grandes souffrances. Je suis surpris par tout cela. Vous êtes encore jeune et vous avez déjà le mérite de vous consacrer à l’éducation positive, c’est-à-dire de rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Or, si un homme de chair et d’os est reconnaissant, s’il fait tout ce qui est en son pouvoir pour remercier celui qui rapproche de lui le cœur de ses enfants, combien plus en est-il ainsi pour notre Père Qui se trouve dans les cieux, Qui est l’Essence du bien et Tout Puissant. Il est certain qu’Il accorde la bénédiction et la réussite à tous ceux qui s’efforcent de rapprocher de Lui les cœurs de Ses enfants. Or, si “ D.ieu est avec moi ”, il est bien évident que “ je n’ai pas peur de ce qu’un homme peut me faire ”, comme l’affirme notre Torah, Torah de vie.
Il est clair que chacun peut connaître des évolutions, y compris moralement. Pour autant, il est certain également qu’il ne faut pas les aggraver et les exagérer. Une sensation désagréable n’est, après tout, que passagère et, pour qu’elle passe au plus vite, il faut avoir recours à l’idée précédemment définie. Bien plus, vous devez vous rappeler d’un des principes fondamentaux de notre foi, particulièrement bien expliqué par la ‘Hassidout, celui de la divine Providence. En effet, au sens le plus littéral, D.ieu protège chacun, en tout ce qui le concerne, jusque dans le moindre détail.
Après l’éducation que vous avez reçue, j’espère que ces quelques lignes seront suffisantes pour vous faire prendre conscience de la vérité. Nous nous trouvons dans un monde duquel le Créateur dit : “ Et, D.ieu vit qu’il était bon ”, comme l’expliqua longuement notre grand maître, le Rambam, dans ses livres. Toutefois, l’homme ne doit pas vouloir établir de nombreux comptes, cachant la réalité et falsifiant la vérité. L’idée centrale de tout cela est la suivante. Cessez de penser à votre état d’esprit ! Que votre foi en le Créateur du monde, Qui protège chacun et chacune, vous emplisse de vitalité, d’empressement et de joie, dans tous les domaines. Ayez une vie simple, sans pensées compliquées. Soyez heureuse, sur la voie de la Torah et des Mitsvot.
Dans l’attente de bonnes nouvelles de tout cela,