Lettre n° 5680
Par la grâce de D.ieu,
25 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 18 Mena’hem Av, dans laquelle vous m’interrogez sur la situation en Inde. Il semble que celle des Juifs ne soit pas bonne et l’on peut réellement se demander si l’on trouve, là-bas, tout ce que vous écrivez. En tout état de cause, ce poste ne convient pas à un jeune homme qui vient de se marier et qui doit rester dans la proximité de personnes ayant la crainte de D.ieu, respectant la Torah et les Mitsvot ou, en tout état de cause, ne pas trop s’en éloigner.
D.ieu fasse que vous assuriez votre subsistance et celle de votre famille, dans le calme et la largesse, de sorte que vous pourrez vous servir de vos capacités afin de renforcer le Judaïsme et de le diffuser. En un moment propice, je citerai ceux que vous mentionnez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous gardez sûrement les études de ‘Hitat, ‘Houmach, Tehilim et Tanya. Quant à votre épouse, elle a adopté la coutume des femmes vertueuses, consistant à prélever de la Tsédaka, avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Tout au moins le fera-t-elle, à l’avenir.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
25 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 18 Mena’hem Av, dans laquelle vous m’interrogez sur la situation en Inde. Il semble que celle des Juifs ne soit pas bonne et l’on peut réellement se demander si l’on trouve, là-bas, tout ce que vous écrivez. En tout état de cause, ce poste ne convient pas à un jeune homme qui vient de se marier et qui doit rester dans la proximité de personnes ayant la crainte de D.ieu, respectant la Torah et les Mitsvot ou, en tout état de cause, ne pas trop s’en éloigner.
D.ieu fasse que vous assuriez votre subsistance et celle de votre famille, dans le calme et la largesse, de sorte que vous pourrez vous servir de vos capacités afin de renforcer le Judaïsme et de le diffuser. En un moment propice, je citerai ceux que vous mentionnez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous gardez sûrement les études de ‘Hitat, ‘Houmach, Tehilim et Tanya. Quant à votre épouse, elle a adopté la coutume des femmes vertueuses, consistant à prélever de la Tsédaka, avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Tout au moins le fera-t-elle, à l’avenir.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
M. Schneerson,