Lettre n° 5683
Par la grâce de D.ieu,
26 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
assume fidèlement sa mission, le Rav Yaakov Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que vous devez rencontrer les dirigeants de la synagogue de rite ashkénaze, dans le but d’une unification et vous me demandez quelle est votre marge de manœuvre, dans le domaine du rite à adopter. Il est bien évident que la prudence s’impose, car il est clair que la prière est l’activité essentielle d’une synagogue. Or, dans une synagogue ‘hassidique, quand quelqu’un le désire, il peut maintenir son propre rite, à titre individuel, ce qui ne concerne que lui. Exceptionnellement, quelqu’un peut conduire l’office avec un autre rite, ce qui suscite le mécontentement de nombreuses personnes, pour des raisons hala’hiques. Pour autant, ces personnes ne disent rien, afin de maintenir la paix. En revanche, le rite adopté de manière fixe doit être, bien évidemment, celui de Loubavitch, d’autant que, d’après la Hala’ha, on peut changer le rite ashkénaze contre le rite séfarade ou Ari, mais non l’inverse.
Nous nous approchons des jours de miséricorde(2), au cours desquels on dit, chaque jour : “ Eternel, je rechercherai Ta Face ”, ce qui est lié à : “ Recherchez ma Face ”. Puisse donc D.ieu faire que l’on renforce et que l’on approfondisse la prière, qui est le lien entre les Juifs et le Saint béni soit-Il, le canal et le réceptacle permettant d’obtenir la satisfaction des besoins de l’homme, matériels et spirituels.
Je vous adresse ma bénédiction pour un bon Chabbat et pour attirer la bénédiction sur tout le mois et sur tous les jours, qui approchent, de manière pacifique, pour nous, au sein de tout Israël.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav Y. Kats, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°5523.
(2) Du mois d’Elloul.
26 Mena’hem Av 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
assume fidèlement sa mission, le Rav Yaakov Ha Cohen(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que vous devez rencontrer les dirigeants de la synagogue de rite ashkénaze, dans le but d’une unification et vous me demandez quelle est votre marge de manœuvre, dans le domaine du rite à adopter. Il est bien évident que la prudence s’impose, car il est clair que la prière est l’activité essentielle d’une synagogue. Or, dans une synagogue ‘hassidique, quand quelqu’un le désire, il peut maintenir son propre rite, à titre individuel, ce qui ne concerne que lui. Exceptionnellement, quelqu’un peut conduire l’office avec un autre rite, ce qui suscite le mécontentement de nombreuses personnes, pour des raisons hala’hiques. Pour autant, ces personnes ne disent rien, afin de maintenir la paix. En revanche, le rite adopté de manière fixe doit être, bien évidemment, celui de Loubavitch, d’autant que, d’après la Hala’ha, on peut changer le rite ashkénaze contre le rite séfarade ou Ari, mais non l’inverse.
Nous nous approchons des jours de miséricorde(2), au cours desquels on dit, chaque jour : “ Eternel, je rechercherai Ta Face ”, ce qui est lié à : “ Recherchez ma Face ”. Puisse donc D.ieu faire que l’on renforce et que l’on approfondisse la prière, qui est le lien entre les Juifs et le Saint béni soit-Il, le canal et le réceptacle permettant d’obtenir la satisfaction des besoins de l’homme, matériels et spirituels.
Je vous adresse ma bénédiction pour un bon Chabbat et pour attirer la bénédiction sur tout le mois et sur tous les jours, qui approchent, de manière pacifique, pour nous, au sein de tout Israël.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav Y. Kats, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°5523.
(2) Du mois d’Elloul.