Lettre n° 5737
Par la grâce de D.ieu,
14 Elloul 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre et à la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me décrivez brièvement comment vous avez vécu cette année. Vous parlez également de vos problèmes de santé, concernant votre peau. Si, comme vous semblez l’indiquez dans votre lettre, vous choisissez vous même une pommade et un traitement, après avoir interrogé vos amis, il est évident que votre manière de procéder n’est pas la bonne. La logique élémentaire établit et notre Torah souligne que “ le médecin a été autorisé à guérir ”. Il y a sûrement, à proximité de chez vous, des spécialistes dans ce domaine. Vous les consulterez donc maintenant et vous vous tiendrez à leurs prescriptions. De même, vous dites que vous avez consulté un homme que l’on qualifie d’expert. Il est évident que cela ne convient pas non plus. En conséquence, comme vous l’envisagez vous-même à la fin de votre lettre, vous consulterez un dermatologue.
Puisse D.ieu faire que vous intensifiez votre pratique de la Torah et des Mitsvot, avec soumission et abnégation, mais non de la manière que vous décrivez, en affirmant que, si D.ieu vous vient en aide, vous agirez. En effet, dans un premier temps, un Juif agit concrètement, d’autant que cette action, par elle-même, a une valeur inestimable et la Michna précise bien que “ la récompense de la Mitsva est la Mitsva elle-même ”. D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles de votre état de santé, non seulement physique, mais aussi moral. Vous participez sûrement aux activités des jeunes de l’association ‘Habad, sans, bien entendu, que celles-ci se fassent au détriment de votre temps d’étude.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année, que vous donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
14 Elloul 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre et à la demande de bénédiction qu’elle contenait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous me décrivez brièvement comment vous avez vécu cette année. Vous parlez également de vos problèmes de santé, concernant votre peau. Si, comme vous semblez l’indiquez dans votre lettre, vous choisissez vous même une pommade et un traitement, après avoir interrogé vos amis, il est évident que votre manière de procéder n’est pas la bonne. La logique élémentaire établit et notre Torah souligne que “ le médecin a été autorisé à guérir ”. Il y a sûrement, à proximité de chez vous, des spécialistes dans ce domaine. Vous les consulterez donc maintenant et vous vous tiendrez à leurs prescriptions. De même, vous dites que vous avez consulté un homme que l’on qualifie d’expert. Il est évident que cela ne convient pas non plus. En conséquence, comme vous l’envisagez vous-même à la fin de votre lettre, vous consulterez un dermatologue.
Puisse D.ieu faire que vous intensifiez votre pratique de la Torah et des Mitsvot, avec soumission et abnégation, mais non de la manière que vous décrivez, en affirmant que, si D.ieu vous vient en aide, vous agirez. En effet, dans un premier temps, un Juif agit concrètement, d’autant que cette action, par elle-même, a une valeur inestimable et la Michna précise bien que “ la récompense de la Mitsva est la Mitsva elle-même ”. D.ieu fasse que vous me donniez de bonnes nouvelles de votre état de santé, non seulement physique, mais aussi moral. Vous participez sûrement aux activités des jeunes de l’association ‘Habad, sans, bien entendu, que celles-ci se fassent au détriment de votre temps d’étude.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année, que vous donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,