Lettre n° 577
Par la grâce de D.ieu,
26 Adar 5710,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Mon beau-père, le Rabbi, écrit, dans l’une de ses lettres:
"Grâce à la ‘Hassidout, où que l’on se trouve, on n’est pas seul"(2).
Or, s’il en était ainsi lorsque le Juste vivait dans ce monde matériel, combien plus est-ce le cas à l’heure actuelle, alors qu’il est encore plus présent dans ce monde de l’action. Bien plus, il s’agit, en l’occurrence, d’un Rabbi, intermédiaire entre D.ieu et les Juifs, révélant le stade de la Divinité qui transcende la nature.
Un intermédiaire doit posséder les caractères des deux éléments qu’il relie. Ses ‘Hassidim et ses disciples restent attachés à lui, comme ils l’étaient auparavant, car ce qui émane de l’essence de l’âme transcende le temps. Bien plus, cet attachement doit être encore plus fort. Grâce à lui, chacun doit sentir qu’il ne peut en aucune manière en être autrement.
Dès lors, il ne peut y avoir de coupure, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien au contraire, on peut se lier à lui spirituellement, mais aussi matériellement, pour recevoir tout le bien. Car ce qui est vrai pour D.ieu se rencontre, ici-bas, chez un Rabbi. En effet, la nature, qui, en l’occurrence, transcende l’entendement, de celui qui est bon est de faire le bien.
M. Schneerson,
* * *
J’ai bien reçu vos lettres, les listes et la demande de bénédiction. J’ai lu cette dernière près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. J’ai transmis le Maamad(3) et vous recevrez prochainement les reçus.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion de Pessa’h, que vous mettrez sûrement à la disposition du plus grand nombre.
Je conclus en vous souhaitant une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, de même qu’à tous vos disciples.
* * *
Vous me demandez à quoi fait allusion la lettre Youd dans l’écriture dite Achourit(4). Je n’ai jamais eu connaissance d’une explication, à ce propos.
Notes
(1) Cette lettre fut, dans un premier temps, écrite en annexe de la lettre n°575, puis adressée à plusieurs personnes, de manière indépendante et quelques paragraphes supplémentaires lui furent ajoutés. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) Voir le Hayom Yom, à la date du 22 Iyar.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°513, 520, 548, 557, 566, 575.
(4) Voir, à ce propos, la lettre n°489.
26 Adar 5710,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Mon beau-père, le Rabbi, écrit, dans l’une de ses lettres:
"Grâce à la ‘Hassidout, où que l’on se trouve, on n’est pas seul"(2).
Or, s’il en était ainsi lorsque le Juste vivait dans ce monde matériel, combien plus est-ce le cas à l’heure actuelle, alors qu’il est encore plus présent dans ce monde de l’action. Bien plus, il s’agit, en l’occurrence, d’un Rabbi, intermédiaire entre D.ieu et les Juifs, révélant le stade de la Divinité qui transcende la nature.
Un intermédiaire doit posséder les caractères des deux éléments qu’il relie. Ses ‘Hassidim et ses disciples restent attachés à lui, comme ils l’étaient auparavant, car ce qui émane de l’essence de l’âme transcende le temps. Bien plus, cet attachement doit être encore plus fort. Grâce à lui, chacun doit sentir qu’il ne peut en aucune manière en être autrement.
Dès lors, il ne peut y avoir de coupure, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien au contraire, on peut se lier à lui spirituellement, mais aussi matériellement, pour recevoir tout le bien. Car ce qui est vrai pour D.ieu se rencontre, ici-bas, chez un Rabbi. En effet, la nature, qui, en l’occurrence, transcende l’entendement, de celui qui est bon est de faire le bien.
M. Schneerson,
* * *
J’ai bien reçu vos lettres, les listes et la demande de bénédiction. J’ai lu cette dernière près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. J’ai transmis le Maamad(3) et vous recevrez prochainement les reçus.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion de Pessa’h, que vous mettrez sûrement à la disposition du plus grand nombre.
Je conclus en vous souhaitant une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, de même qu’à tous vos disciples.
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Vous me demandez à quoi fait allusion la lettre Youd dans l’écriture dite Achourit(4). Je n’ai jamais eu connaissance d’une explication, à ce propos.
Notes
(1) Cette lettre fut, dans un premier temps, écrite en annexe de la lettre n°575, puis adressée à plusieurs personnes, de manière indépendante et quelques paragraphes supplémentaires lui furent ajoutés. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) Voir le Hayom Yom, à la date du 22 Iyar.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°513, 520, 548, 557, 566, 575.
(4) Voir, à ce propos, la lettre n°489.