Lettre n° 5789
Par la grâce de D.ieu,
8 Tichri 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos de votre fils et vous évitez, en permanence, d’évoquer le point qui est pourtant essentiel, c’est-à-dire le fait que j’ai, certes, enfin donné mon accord à sa venue ici(1), mais qu’il y avait une condition expresse à cela. Il devait, pendant cette année, améliorer son comportement de manière significative. Ceci devait faire la preuve que son voyage ici se justifiait. Si une telle amélioration ne se manifeste pas, il est clair que je maintiens ma position précédente. Comme je vous l’ai longuement expliqué lorsque vous étiez ici, il est préférable qu’il reste là où il est, à proximité de ses parents. Il est évident que tel est mon avis, pour son bien véritable. En conséquence, et dans la mesure où la condition n’a pas été suivie d’effet, je suis surpris que vous poursuiviez l’effort pour qu’il vienne ici.
C’est en ces jours(2) que l’on est définitivement inscrit pour une bonne année. Or, disent, nos Sages, “ tout va d’après la conclusion ”. Puisse donc D.ieu faire que celle-ci soit un bien visible et tangible, dans tous les domaines, matériels et spirituels. Dans la joie et l’enthousiasme, vous vous servirez de vos capacités afin de rehausser la Tradition d’Israël. Vous garderez, pour toujours, vos forces de jeunesse, car vous êtes lié et attaché à Celui de Qui il est dit : “ L’Ancien des jours siège ”. Il est dit aussi : “ Attache-toi à Ses Attributs ”, c’est-à-dire : “ Tout comme Il est miséricordieux, sois-le également ”. Ceci a la conséquence suivante, “ vous êtes attachés à l’Eternel votre D.ieu, tous vivants aujourd’hui ”.
Notes
(1) Vraisemblablement afin de poursuivre ses études dans la Yechiva qui se trouve auprès du Rabbi.
(2) Voir la lettre n°5787. Ce paragraphe se retrouve dans les lettres adressées à plusieurs personnes.
8 Tichri 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’écrivez à propos de votre fils et vous évitez, en permanence, d’évoquer le point qui est pourtant essentiel, c’est-à-dire le fait que j’ai, certes, enfin donné mon accord à sa venue ici(1), mais qu’il y avait une condition expresse à cela. Il devait, pendant cette année, améliorer son comportement de manière significative. Ceci devait faire la preuve que son voyage ici se justifiait. Si une telle amélioration ne se manifeste pas, il est clair que je maintiens ma position précédente. Comme je vous l’ai longuement expliqué lorsque vous étiez ici, il est préférable qu’il reste là où il est, à proximité de ses parents. Il est évident que tel est mon avis, pour son bien véritable. En conséquence, et dans la mesure où la condition n’a pas été suivie d’effet, je suis surpris que vous poursuiviez l’effort pour qu’il vienne ici.
C’est en ces jours(2) que l’on est définitivement inscrit pour une bonne année. Or, disent, nos Sages, “ tout va d’après la conclusion ”. Puisse donc D.ieu faire que celle-ci soit un bien visible et tangible, dans tous les domaines, matériels et spirituels. Dans la joie et l’enthousiasme, vous vous servirez de vos capacités afin de rehausser la Tradition d’Israël. Vous garderez, pour toujours, vos forces de jeunesse, car vous êtes lié et attaché à Celui de Qui il est dit : “ L’Ancien des jours siège ”. Il est dit aussi : “ Attache-toi à Ses Attributs ”, c’est-à-dire : “ Tout comme Il est miséricordieux, sois-le également ”. Ceci a la conséquence suivante, “ vous êtes attachés à l’Eternel votre D.ieu, tous vivants aujourd’hui ”.
Notes
(1) Vraisemblablement afin de poursuivre ses études dans la Yechiva qui se trouve auprès du Rabbi.
(2) Voir la lettre n°5787. Ce paragraphe se retrouve dans les lettres adressées à plusieurs personnes.