Lettre n° 5796
Par la grâce de D.ieu,
12 Tichri 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché, docteur Taub(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch Hachana et, comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément au contenu de votre lettre.
Puisse D.ieu faire qu’avec largesse d’esprit et dans le calme, vous puissiez approfondir votre soumission à D.ieu, en étudiant notre sainte Torah, en mettant en pratique ses Mitsvot de la meilleure façon. Vous renforcerez votre engagement en ce sens, conformément à l’Injonction selon laquelle on connaît l’élévation dans le domaine de la Sainteté. De la sorte, se multiplieront les bénédictions de D.ieu, en tous vos besoins.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour une joyeuse fête,
Vous me demandez des détails sur le Rav Ichaya docteur(2). Vous consulterez, à son propos, le Beth Rabbi, à la fin du chapitre 26, qui parle également de Rav Its’hak docteur et de Rav Avraham docteur. Vous verrez aussi mes notes sur les responsa Tséma’h Tsédek, parus à Brooklyn, à la fin du tome 6, page 102 et la lettre du Gaon, Rav I. A. Epstein, de Homyl, imprimée à la fin du Likouteï Amarim, paru à Poltava, en 5678(3), qui dit : “ J’ai écrit… avait raison ”(4).
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°4738.
(2) L’un des ‘Hassidim de l’Admour Hazaken, qui était médecin. Voir le recueil Yagdil Torah, paru à New York, tome 34, chapitre 91.
(3) 1918. Il semble qu’il s’agisse du Chneï Ha Meorot.
(4) Le Toledot Its’hak Aïzik rapporte : “ J’ai écrit que j’ai entendu le célèbre docteur, monsieur Ichaya de Druya, auteur d’un livre de médecine en Hébreu, paru dernièrement, faire l’éloge des connaissances médicales du Rabbi de Lyadi. Il a précisé ce qu’il a reçu de lui. Ce docteur a surmonté l’épreuve à laquelle il était confronté et il s’est aperçu que le Rabbi avait raison ”.
12 Tichri 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché, docteur Taub(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch Hachana et, comme vous me le demandez, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément au contenu de votre lettre.
Puisse D.ieu faire qu’avec largesse d’esprit et dans le calme, vous puissiez approfondir votre soumission à D.ieu, en étudiant notre sainte Torah, en mettant en pratique ses Mitsvot de la meilleure façon. Vous renforcerez votre engagement en ce sens, conformément à l’Injonction selon laquelle on connaît l’élévation dans le domaine de la Sainteté. De la sorte, se multiplieront les bénédictions de D.ieu, en tous vos besoins.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour une joyeuse fête,
Vous me demandez des détails sur le Rav Ichaya docteur(2). Vous consulterez, à son propos, le Beth Rabbi, à la fin du chapitre 26, qui parle également de Rav Its’hak docteur et de Rav Avraham docteur. Vous verrez aussi mes notes sur les responsa Tséma’h Tsédek, parus à Brooklyn, à la fin du tome 6, page 102 et la lettre du Gaon, Rav I. A. Epstein, de Homyl, imprimée à la fin du Likouteï Amarim, paru à Poltava, en 5678(3), qui dit : “ J’ai écrit… avait raison ”(4).
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°4738.
(2) L’un des ‘Hassidim de l’Admour Hazaken, qui était médecin. Voir le recueil Yagdil Torah, paru à New York, tome 34, chapitre 91.
(3) 1918. Il semble qu’il s’agisse du Chneï Ha Meorot.
(4) Le Toledot Its’hak Aïzik rapporte : “ J’ai écrit que j’ai entendu le célèbre docteur, monsieur Ichaya de Druya, auteur d’un livre de médecine en Hébreu, paru dernièrement, faire l’éloge des connaissances médicales du Rabbi de Lyadi. Il a précisé ce qu’il a reçu de lui. Ce docteur a surmonté l’épreuve à laquelle il était confronté et il s’est aperçu que le Rabbi avait raison ”.