Lettre n° 5833
Par la grâce de D.ieu,
9 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Aux associés de l’usine “ Independant Teenwear Company ”
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre demande de bénédiction pour la réussite de vos affaires. Je formule donc la proposition suivante. Comme nous en avons parlé quand nous nous sommes rencontrés, vous devez choisir le Créateur comme associé en décidant, de tout votre cœur, de consacrer entre dix et vingt pour cent de vos gains à la Tsédaka. Dans un commerce, chaque associé s’efforce de faire ce qui est en son pouvoir pour que l’activité soit fructueuse. D.ieu, en tant qu’Associé, vous accordera donc Sa bénédiction et le succès en tout ce qui vient d’être dit.
Bien évidemment, il est nécessaire, pour cela, que le réceptacle soit pur, conformément aux enseignements de notre sainte Torah, non seulement par le respect du Chabbat et des fêtes, mais aussi par celui de la veille du Chabbat et des fêtes, de même qu’en évitant la moindre forme de concurrence déloyale. Certes, il y a tout lieu de penser que les descendants d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov mettent en pratique les Injonctions divines. Ce qui vient d’être dit n’a donc d’autre but que de conseiller l’empressement, de souligner l’importance et la nécessité d’un ajout, de votre part, qui élargira également les bénédictions de D.ieu. En outre, celles-ci se révéleront au plus vite, très prochainement, bien au delà de ce que vous escomptez, de manière ordinaire.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
5833*
Par la grâce de D.ieu,
9 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Mar’hechvan, dans laquelle vous évoquez vos dettes qui se sont accumulées, ces dernières années. Pour l’heure, vous ne savez pas comment les rembourser et vous envisagez donc de partir pour l’étranger, pendant quelques années, afin d’y gagner de quoi couvrir vos dépenses courantes et rembourser vos dettes.
Or, ceci vous occasionnera des frais de voyage, aller et retour, qui ne sont pas minces. En outre, un déménagement d’un endroit vers un autre est également coûteux. De plus, il n’est pas absolument certain que, dans le pays où vous vous rendrez, vous gagnerez ce qu’il faut pour couvrir vos dépenses et payer vos dettes, car nul ne peut assurer qu’il en sera ainsi pendant un an ou deux. Il faut aussi qu’aucune modification n’intervienne dans les conditions et il y a encore d’autres doutes. Vous devez également prendre en compte les difficultés pour s’adapter à un nouvel endroit, en particulier pour les plus jeunes enfants.
Pour toutes ces raisons, cette proposition ne me convient pas. Vous devez chercher à gagner votre vie sur place, en plus de vos fonctions actuelles. Vous avez observé les bienfaits de D.ieu pour vous marier, pour avoir des enfants, pour vous loger. Or, vous vous rappelez à quel point vous étiez désespéré, en tous ces domaines, ce qu’à D.ieu ne plaise. J’ai donc bon espoir qu’en la matière également, l’avenir sera meilleur que ce que vous imaginez, si vous vous intéressez plus sérieusement, et avec sincérité, au canal et au réceptacle satisfaisant vos besoins et ceux des membres de votre famille.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela. Et, tout va d’après la conclusion. Vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour redoubler d’ardeur en votre mission sacrée et, en conséquence de cela, vous me donnerez également de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement.
9 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Aux associés de l’usine “ Independant Teenwear Company ”
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre demande de bénédiction pour la réussite de vos affaires. Je formule donc la proposition suivante. Comme nous en avons parlé quand nous nous sommes rencontrés, vous devez choisir le Créateur comme associé en décidant, de tout votre cœur, de consacrer entre dix et vingt pour cent de vos gains à la Tsédaka. Dans un commerce, chaque associé s’efforce de faire ce qui est en son pouvoir pour que l’activité soit fructueuse. D.ieu, en tant qu’Associé, vous accordera donc Sa bénédiction et le succès en tout ce qui vient d’être dit.
Bien évidemment, il est nécessaire, pour cela, que le réceptacle soit pur, conformément aux enseignements de notre sainte Torah, non seulement par le respect du Chabbat et des fêtes, mais aussi par celui de la veille du Chabbat et des fêtes, de même qu’en évitant la moindre forme de concurrence déloyale. Certes, il y a tout lieu de penser que les descendants d’Avraham, d’Its’hak et de Yaakov mettent en pratique les Injonctions divines. Ce qui vient d’être dit n’a donc d’autre but que de conseiller l’empressement, de souligner l’importance et la nécessité d’un ajout, de votre part, qui élargira également les bénédictions de D.ieu. En outre, celles-ci se révéleront au plus vite, très prochainement, bien au delà de ce que vous escomptez, de manière ordinaire.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
5833*
Par la grâce de D.ieu,
9 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 2 Mar’hechvan, dans laquelle vous évoquez vos dettes qui se sont accumulées, ces dernières années. Pour l’heure, vous ne savez pas comment les rembourser et vous envisagez donc de partir pour l’étranger, pendant quelques années, afin d’y gagner de quoi couvrir vos dépenses courantes et rembourser vos dettes.
Or, ceci vous occasionnera des frais de voyage, aller et retour, qui ne sont pas minces. En outre, un déménagement d’un endroit vers un autre est également coûteux. De plus, il n’est pas absolument certain que, dans le pays où vous vous rendrez, vous gagnerez ce qu’il faut pour couvrir vos dépenses et payer vos dettes, car nul ne peut assurer qu’il en sera ainsi pendant un an ou deux. Il faut aussi qu’aucune modification n’intervienne dans les conditions et il y a encore d’autres doutes. Vous devez également prendre en compte les difficultés pour s’adapter à un nouvel endroit, en particulier pour les plus jeunes enfants.
Pour toutes ces raisons, cette proposition ne me convient pas. Vous devez chercher à gagner votre vie sur place, en plus de vos fonctions actuelles. Vous avez observé les bienfaits de D.ieu pour vous marier, pour avoir des enfants, pour vous loger. Or, vous vous rappelez à quel point vous étiez désespéré, en tous ces domaines, ce qu’à D.ieu ne plaise. J’ai donc bon espoir qu’en la matière également, l’avenir sera meilleur que ce que vous imaginez, si vous vous intéressez plus sérieusement, et avec sincérité, au canal et au réceptacle satisfaisant vos besoins et ceux des membres de votre famille.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela. Et, tout va d’après la conclusion. Vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour redoubler d’ardeur en votre mission sacrée et, en conséquence de cela, vous me donnerez également de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement.