Lettre n° 5853

Par la grâce de D.ieu,
18 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,

Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav A.(1),

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi et j’attends la suite de vos bonnes nouvelles, concernant ce que vous m’écrivez.

Vous me parlez d’un Tana’h et vous faites vraisemblablement allusion à celui qui a été édité à Jérusalem. Il est effectivement en ma possession et, du reste, il est effroyable de constater que l’on y a introduit de nombreuses différences sans même en dresser la liste.

Vous me dites que vous avez un doute sur votre nom, car vous en avez reçu un à votre naissance, alors que, par la suite, à l’école, on vous en a donné un autre. Je suis surpris par votre doute(2), car la Hala’ha a été tranchée, en la matière, prenant en compte les particularités de chaque situation, dans les lois des noms énoncés, en particulier, à propos des actes de mariage.

Avec ma bénédiction,

Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,

Notes

(1) Le Rav A. Friedman, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5905.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°5905.