Lettre n° 5873
Par la grâce de D.ieu,
26 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mar’hechvan, dans laquelle vous m’exposez les avis divergents des médecins que vous avez consultés.
Un point n’est cependant pas très clair, dans votre lettre. Si les médecins qui ont des avis divergents ont été consultés à des moments différents, cela peut vouloir dire que la situation a évolué, entre-temps. En revanche, s’ils ont été consultés au même moment, cela signifie simplement qu’ils sont en désaccord. En tout état de cause, il faut d’abord essayer de porter une ceinture et voir quel effet cela aura. Peut-être cela sera-t-il suffisant, sans qu’aucun autre traitement ne soit nécessaire.
Je saisis cette opportunité pour vous souligner un point étonnant et surprenant. Les quelques fois que vous étiez ici, plusieurs points n’allaient pas et l’on n’en était pas satisfait. Une fois, vous êtes venu sans l’autorisation de la Yechiva Tom’heï Temimim de votre ville. Une autre fois, vous ne vous êtes même pas présenté à l’examen, ni pour la partie révélée de la Torah, ni pour la ‘Hassidout, alors que celui-ci était organisé par la direction de la Yechiva Tom’heï Temimim, ici-même, à ma demande. Une autre fois encore, vous avez effectivement passé cet examen, mais vous n’avez pas eu de bons résultats.
Il est bien clair que tout cela n’est nullement satisfaisant, en particulier en notre génération et surtout pour un élève de la Yechiva Tom’heï Temimim, qui doit être “ une bougie pour éclairer ”, c’est-à-dire exercer une influence positive sur les autres. Pour cela, il est essentiel de donner le bon exemple et, de cette formulation affirmative, on peut également en déduire une négative. C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, tout cela soit rectifié, de la manière expliquée dans la lettre de l’Admour Hazaken, Iguéret Ha Techouva, à la fin du chapitre 9 : “ Celui qui avait l’habitude de lire une page en lira deux ”.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
26 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mar’hechvan, dans laquelle vous m’exposez les avis divergents des médecins que vous avez consultés.
Un point n’est cependant pas très clair, dans votre lettre. Si les médecins qui ont des avis divergents ont été consultés à des moments différents, cela peut vouloir dire que la situation a évolué, entre-temps. En revanche, s’ils ont été consultés au même moment, cela signifie simplement qu’ils sont en désaccord. En tout état de cause, il faut d’abord essayer de porter une ceinture et voir quel effet cela aura. Peut-être cela sera-t-il suffisant, sans qu’aucun autre traitement ne soit nécessaire.
Je saisis cette opportunité pour vous souligner un point étonnant et surprenant. Les quelques fois que vous étiez ici, plusieurs points n’allaient pas et l’on n’en était pas satisfait. Une fois, vous êtes venu sans l’autorisation de la Yechiva Tom’heï Temimim de votre ville. Une autre fois, vous ne vous êtes même pas présenté à l’examen, ni pour la partie révélée de la Torah, ni pour la ‘Hassidout, alors que celui-ci était organisé par la direction de la Yechiva Tom’heï Temimim, ici-même, à ma demande. Une autre fois encore, vous avez effectivement passé cet examen, mais vous n’avez pas eu de bons résultats.
Il est bien clair que tout cela n’est nullement satisfaisant, en particulier en notre génération et surtout pour un élève de la Yechiva Tom’heï Temimim, qui doit être “ une bougie pour éclairer ”, c’est-à-dire exercer une influence positive sur les autres. Pour cela, il est essentiel de donner le bon exemple et, de cette formulation affirmative, on peut également en déduire une négative. C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, tout cela soit rectifié, de la manière expliquée dans la lettre de l’Admour Hazaken, Iguéret Ha Techouva, à la fin du chapitre 9 : “ Celui qui avait l’habitude de lire une page en lira deux ”.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,