Lettre n° 5879
Par la grâce de D.ieu,
27 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Mar’hechvan. Vous m’annoncez une bonne nouvelle, puisque vous me dites que plusieurs voisins indésirables ont quitté leur appartement et qu’ils ont été remplacés par de bons voisins. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez également de bonnes nouvelles sur les autres points que vous évoquez.
Vous me dites aussi qu’il y a un an environ, vous avez acheté une maison dans un autre quartier, qui vous cause sans cesse des ennuis. Une telle situation est très fréquente, quand on ne prélève pas la dîme, au moins le dixième des revenus de cette maison, pour la Tsédaka. Si c’est effectivement le cas pour ce qui vous concerne, si, jusqu’à maintenant, vous n’avez pas donné de Tsédaka et, comme vous le savez, nos Sages disent que l’on n’en établit pas le compte de façon précise, ce qui veut dire que l’on en donne un peu plus que le dixième, vous devez, bien entendu, aussitôt réparer tout cela. Il serait bon également de donner maintenant la dîme que vous n’avez pas prélevé, pendant les mois passés. Le Saint béni soit-Il dit, de la Tsédaka : “ De grâce, mettez Moi à l’épreuve, en la matière ” et nos Sages expliquent : “ Prélève la dîme afin de t’enrichir ”. A n’en pas douter, cette promesse s’accomplira dans votre cas.
J’espère qu’au moins à l’avenir, vous adopterez les trois études bien connues, portant sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, a maintes fois souligné que celles-ci concernent chacun et ont un effet propice, dans différents domaines. Quant à votre épouse, elle respectera la coutume des femmes juives vertueuses, consistant à prélever de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
27 Mar’hechvan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Mar’hechvan. Vous m’annoncez une bonne nouvelle, puisque vous me dites que plusieurs voisins indésirables ont quitté leur appartement et qu’ils ont été remplacés par de bons voisins. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez également de bonnes nouvelles sur les autres points que vous évoquez.
Vous me dites aussi qu’il y a un an environ, vous avez acheté une maison dans un autre quartier, qui vous cause sans cesse des ennuis. Une telle situation est très fréquente, quand on ne prélève pas la dîme, au moins le dixième des revenus de cette maison, pour la Tsédaka. Si c’est effectivement le cas pour ce qui vous concerne, si, jusqu’à maintenant, vous n’avez pas donné de Tsédaka et, comme vous le savez, nos Sages disent que l’on n’en établit pas le compte de façon précise, ce qui veut dire que l’on en donne un peu plus que le dixième, vous devez, bien entendu, aussitôt réparer tout cela. Il serait bon également de donner maintenant la dîme que vous n’avez pas prélevé, pendant les mois passés. Le Saint béni soit-Il dit, de la Tsédaka : “ De grâce, mettez Moi à l’épreuve, en la matière ” et nos Sages expliquent : “ Prélève la dîme afin de t’enrichir ”. A n’en pas douter, cette promesse s’accomplira dans votre cas.
J’espère qu’au moins à l’avenir, vous adopterez les trois études bien connues, portant sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya. Mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, a maintes fois souligné que celles-ci concernent chacun et ont un effet propice, dans différents domaines. Quant à votre épouse, elle respectera la coutume des femmes juives vertueuses, consistant à prélever de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,