Lettre n° 592
Par la grâce de D.ieu,
4 Iyar 5710,
Je vous salue et vous bénis,
Je me suis dit qu’il vous semblera peut-être que l’épreuve est trop forte. En effet, qui sait ce que vous "perdrez" en acceptant ma proposition?
J’ai donc mentionné votre nom, alors que je me trouvais près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, en souhaitant que vous ayez suffisamment de détermination morale ou que l’on vous accorde les forces nécessaires pour surmonter ce que vous ressentez comme une épreuve, afin que vous puissiez vous rendre compte au plus vite que celle-ci n’est rien, comme l’explique la ‘Hassidout dans sa manière de définir les épreuves.
Je ne vous connais pas personnellement et je ne sais donc quels sont les mots qui exprimeront le plus clairement ma position, afin de vous convaincre et que vous ne me soupçonniez pas de ce qui n’est nullement mon intention. Je parlerai donc simplement et ce sera sans doute la meilleure formulation.
De façon générale, à chaque instant, à chaque action, deux voies se présentent à l’homme, au moins pour ce qui le concerne personnellement et il doit faire le choix d’aller à droite ou à gauche. Combien plus en est-il ainsi lorsqu’il s’agit d’une modification profonde, pour un homme qui assume des fonctions publiques et participe à une oeuvre de portée générale.
Le décès est une élévation vers un stade plus spirituel et le corps doit être entraîné par la tête, puisqu’ils sont liés. Chacun et chacune d’entre nous, qui sommes liés à mon beau-père, le Rabbi, chef du peuple juif, doit donc également connaître l’élévation, vers une plus grande spiritualité, accomplir des actions dont il n’était peut-être pas capable jusqu’alors.
4 Iyar 5710,
Je vous salue et vous bénis,
Je me suis dit qu’il vous semblera peut-être que l’épreuve est trop forte. En effet, qui sait ce que vous "perdrez" en acceptant ma proposition?
J’ai donc mentionné votre nom, alors que je me trouvais près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, en souhaitant que vous ayez suffisamment de détermination morale ou que l’on vous accorde les forces nécessaires pour surmonter ce que vous ressentez comme une épreuve, afin que vous puissiez vous rendre compte au plus vite que celle-ci n’est rien, comme l’explique la ‘Hassidout dans sa manière de définir les épreuves.
Je ne vous connais pas personnellement et je ne sais donc quels sont les mots qui exprimeront le plus clairement ma position, afin de vous convaincre et que vous ne me soupçonniez pas de ce qui n’est nullement mon intention. Je parlerai donc simplement et ce sera sans doute la meilleure formulation.
De façon générale, à chaque instant, à chaque action, deux voies se présentent à l’homme, au moins pour ce qui le concerne personnellement et il doit faire le choix d’aller à droite ou à gauche. Combien plus en est-il ainsi lorsqu’il s’agit d’une modification profonde, pour un homme qui assume des fonctions publiques et participe à une oeuvre de portée générale.
Le décès est une élévation vers un stade plus spirituel et le corps doit être entraîné par la tête, puisqu’ils sont liés. Chacun et chacune d’entre nous, qui sommes liés à mon beau-père, le Rabbi, chef du peuple juif, doit donc également connaître l’élévation, vers une plus grande spiritualité, accomplir des actions dont il n’était peut-être pas capable jusqu’alors.