Lettre n° 5925
Par la grâce de D.ieu,
15 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 1/12, m’accusant réception de ma bénédiction, à l’occasion de la nouvelle année et me demandant si ma lettre n’était pas adressée à une autre personne, portant le même nom, dans la mesure où nous n’avons pas correspondu jusqu’à maintenant.
Vous avez raison, c’était effectivement le cas. Néanmoins, tout est effet de la divine Providence et D.ieu fasse donc que s’accomplissent ces bénédictions, parmi toutes les autres que les Juifs se souhaitent, les uns aux autres. Vous connaissez le récit de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, selon lequel notre Père Qui se trouve dans les cieux, observant les bonnes relations que les Juifs entretiennent et les bénédictions qu’ils échangent, les accomplit et, en outre, multiplie Ses bénédictions. Il en est de même pour un père et ses fils, de chair et d’os. En effet, la proximité entre les enfants procure la plus grande satisfaction au père, qui multiplie alors les cadeaux qu’il offre à ses enfants.
Vous m’écrivez : “ Je suis monté en Terre Sainte il y a une dizaine d’années ”. J’ai donc bon espoir que vous vous efforcez, dans la mesure du possible et pour tout ce qui dépend de vous, de faire en sorte qu’il s’agisse d’une véritable élévation, d’une élévation de l’âme, s’approchant de plus en plus de son objectif véritable et de D.ieu, Qui donne la Torah et les Mitsvot. D.ieu est infini et ne connaît pas la limite. En adoptant un comportement conforme à l’enseignement qu’Il délivre dans Sa Torah, de la même étymologie que Horaa, enseignement, on s’engage sur la voie qui conduit vers Lui. En effet, toutes les nations qualifie ce pays de “ Terre Sainte ”, parce que s’y trouvent le Temple et les lieux saints, parce que des événements saints s’y sont déroulés. Or, cette sainteté, comme l’explique la Torah, implique que l’on y adopte la vie de la Torah.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
15 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 1/12, m’accusant réception de ma bénédiction, à l’occasion de la nouvelle année et me demandant si ma lettre n’était pas adressée à une autre personne, portant le même nom, dans la mesure où nous n’avons pas correspondu jusqu’à maintenant.
Vous avez raison, c’était effectivement le cas. Néanmoins, tout est effet de la divine Providence et D.ieu fasse donc que s’accomplissent ces bénédictions, parmi toutes les autres que les Juifs se souhaitent, les uns aux autres. Vous connaissez le récit de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, selon lequel notre Père Qui se trouve dans les cieux, observant les bonnes relations que les Juifs entretiennent et les bénédictions qu’ils échangent, les accomplit et, en outre, multiplie Ses bénédictions. Il en est de même pour un père et ses fils, de chair et d’os. En effet, la proximité entre les enfants procure la plus grande satisfaction au père, qui multiplie alors les cadeaux qu’il offre à ses enfants.
Vous m’écrivez : “ Je suis monté en Terre Sainte il y a une dizaine d’années ”. J’ai donc bon espoir que vous vous efforcez, dans la mesure du possible et pour tout ce qui dépend de vous, de faire en sorte qu’il s’agisse d’une véritable élévation, d’une élévation de l’âme, s’approchant de plus en plus de son objectif véritable et de D.ieu, Qui donne la Torah et les Mitsvot. D.ieu est infini et ne connaît pas la limite. En adoptant un comportement conforme à l’enseignement qu’Il délivre dans Sa Torah, de la même étymologie que Horaa, enseignement, on s’engage sur la voie qui conduit vers Lui. En effet, toutes les nations qualifie ce pays de “ Terre Sainte ”, parce que s’y trouvent le Temple et les lieux saints, parce que des événements saints s’y sont déroulés. Or, cette sainteté, comme l’explique la Torah, implique que l’on y adopte la vie de la Torah.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,