Lettre n° 5926
Par la grâce de D.ieu,
16 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu, avec intérêt, ce que vous m’écrivez, à propos de la prière publique, mais je suis surpris par la conclusion de votre lettre. Vous me dites que vous avez de bonnes relations avec ces hommes, mais qu’il s’agit de personnes simples, s’opposant à la ‘Hassidout, qu’il est impossible d’étudier avec eux. Or, vous savez l’importance des personnes simples et leur valeur, comme l’explique le Kountrass Limoud Ha ‘Hassidout, de mon beau-père, le Rabbi.
De même, vous parlez d’opposants à la ‘Hassidout. Nul ne peut être qualifié ainsi, dans la maison d’Israël et même ceux qui marquent verbalement leur opposition le font uniquement par manque de connaissance. Quand on leur présente les choses telles qu’elles sont, non seulement ils cessent de s’opposer, mais, bien plus, ils deviennent des amis, apportent leur concours et leur aide. Tout dépend donc de celui qui s’adresse à eux. Celui-ci doit le faire avec des propos chaleureux, émanant de son cœur. C’est alors que les mots qu’il prononce peuvent convaincre.
Vous participerez sûrement à la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, de sorte que vous en conserverez la trace pendant les jours suivants.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
16 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu, avec intérêt, ce que vous m’écrivez, à propos de la prière publique, mais je suis surpris par la conclusion de votre lettre. Vous me dites que vous avez de bonnes relations avec ces hommes, mais qu’il s’agit de personnes simples, s’opposant à la ‘Hassidout, qu’il est impossible d’étudier avec eux. Or, vous savez l’importance des personnes simples et leur valeur, comme l’explique le Kountrass Limoud Ha ‘Hassidout, de mon beau-père, le Rabbi.
De même, vous parlez d’opposants à la ‘Hassidout. Nul ne peut être qualifié ainsi, dans la maison d’Israël et même ceux qui marquent verbalement leur opposition le font uniquement par manque de connaissance. Quand on leur présente les choses telles qu’elles sont, non seulement ils cessent de s’opposer, mais, bien plus, ils deviennent des amis, apportent leur concours et leur aide. Tout dépend donc de celui qui s’adresse à eux. Celui-ci doit le faire avec des propos chaleureux, émanant de son cœur. C’est alors que les mots qu’il prononce peuvent convaincre.
Vous participerez sûrement à la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, de sorte que vous en conserverez la trace pendant les jours suivants.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,