Lettre n° 5929
Par la grâce de D.ieu,
17 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre, dans laquelle vous me décrivez les événements qui se sont déroulés pendant les mois et les semaines écoulés, depuis votre dernier courrier.
A mon sens, après tout cela, vous devez consentir les plus grands efforts afin d’achever vos études, pour être jardinière d’enfants ou bien enseignante diplômée. Outre l’intérêt intrinsèque que ceci présente, il est également clair, du point de vue de votre subsistance matérielle, que vous gagnerez mieux votre vie si vous commencez à travailler après avoir achevé ces études plutôt qu’en les interrompant et en entrant un peu plus tôt dans la vie active. Le salaire est alors largement inférieur et il le reste même pendant plusieurs années.
Si vous faites des efforts en ce sens, vous connaîtrez sûrement la réussite, mais, comme je vous l’ai déjà écrit, il serait bon que vous sollicitiez le conseil d’amis, se trouvant sur place. Il est dit, en effet, que : “ le salut provient des nombreux conseillers ”.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
17 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre, dans laquelle vous me décrivez les événements qui se sont déroulés pendant les mois et les semaines écoulés, depuis votre dernier courrier.
A mon sens, après tout cela, vous devez consentir les plus grands efforts afin d’achever vos études, pour être jardinière d’enfants ou bien enseignante diplômée. Outre l’intérêt intrinsèque que ceci présente, il est également clair, du point de vue de votre subsistance matérielle, que vous gagnerez mieux votre vie si vous commencez à travailler après avoir achevé ces études plutôt qu’en les interrompant et en entrant un peu plus tôt dans la vie active. Le salaire est alors largement inférieur et il le reste même pendant plusieurs années.
Si vous faites des efforts en ce sens, vous connaîtrez sûrement la réussite, mais, comme je vous l’ai déjà écrit, il serait bon que vous sollicitiez le conseil d’amis, se trouvant sur place. Il est dit, en effet, que : “ le salut provient des nombreux conseillers ”.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,