Lettre n° 5936
Par la grâce de D.ieu,
18 Kislev 5718,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples accomplissements, le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mar’hechvan et du 10 Kislev, avec ce qu’elle contenait. Entre temps, vous avez sûrement reçu la mienne, qui était la réponse à votre précédent courrier.
Il est dommage que vous soyez découragé parce que telle personne se plaint et telle autre adopte un mauvais comportement. Il en va ainsi, dans notre monde et ce fut le cas pendant les années et les générations passées, peut-être même dans des proportions plus larges qu’à l’heure actuelle. Qui est, pour nous, plus grand que le premier responsable communautaire, après le don de la Torah, Moché notre maître, qui fut le premier à recevoir la sainte Torah ? Malgré cela…(2).
Bien au contraire, en cette période, il est plus aisé d’agir, car “ les actions des pères sont des indications pour les fils ”, dès lors qu’ils leur ont frayé un chemin. De plus, les difficultés et les voiles sont plus légers, comparés à ce que l’on a dit(3). Certes, qui oserait se comparer à lui, comme le fait remarquer l’Admour Hazaken, au chapitre 44 du Tanya ? Toutefois, combien plus doit-on en être renforcé et encouragé. C’est une évidence.
Bien plus, nous sommes entrés, ces jours-ci, en Kislev, mois de la délivrance et des miracles, soulignant la nécessité de l’ajout(4).
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour profiter de ce mois avec une considérable réussite,
N. B. : A n’en pas douter, vous distribuerez également, cette année comme l’an dernier, l’argent de ‘Hanouka en mon nom.
Notes
(1) Le Rav C. Matusof, de Casablanca, Maroc. Voir, à son sujet, la lettre n°5403.
(2) Il fut contesté.
(3) Aux problèmes auxquels Moché fut confronté.
(4) En particulier par les lumières de ‘Hanouka, allumées en ordre croissant.
18 Kislev 5718,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples accomplissements, le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mar’hechvan et du 10 Kislev, avec ce qu’elle contenait. Entre temps, vous avez sûrement reçu la mienne, qui était la réponse à votre précédent courrier.
Il est dommage que vous soyez découragé parce que telle personne se plaint et telle autre adopte un mauvais comportement. Il en va ainsi, dans notre monde et ce fut le cas pendant les années et les générations passées, peut-être même dans des proportions plus larges qu’à l’heure actuelle. Qui est, pour nous, plus grand que le premier responsable communautaire, après le don de la Torah, Moché notre maître, qui fut le premier à recevoir la sainte Torah ? Malgré cela…(2).
Bien au contraire, en cette période, il est plus aisé d’agir, car “ les actions des pères sont des indications pour les fils ”, dès lors qu’ils leur ont frayé un chemin. De plus, les difficultés et les voiles sont plus légers, comparés à ce que l’on a dit(3). Certes, qui oserait se comparer à lui, comme le fait remarquer l’Admour Hazaken, au chapitre 44 du Tanya ? Toutefois, combien plus doit-on en être renforcé et encouragé. C’est une évidence.
Bien plus, nous sommes entrés, ces jours-ci, en Kislev, mois de la délivrance et des miracles, soulignant la nécessité de l’ajout(4).
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour profiter de ce mois avec une considérable réussite,
N. B. : A n’en pas douter, vous distribuerez également, cette année comme l’an dernier, l’argent de ‘Hanouka en mon nom.
Notes
(1) Le Rav C. Matusof, de Casablanca, Maroc. Voir, à son sujet, la lettre n°5403.
(2) Il fut contesté.
(3) Aux problèmes auxquels Moché fut confronté.
(4) En particulier par les lumières de ‘Hanouka, allumées en ordre croissant.