Lettre n° 5946
Par la grâce de D.ieu,
24 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 22 Kislev et je suis surpris de constater que vous ne me précisez pas si vous avez pris part à la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, qui vient d’avoir lieu. J’espère que vous connaissez l’histoire de ce jour et tout ce qui le concerne.
Vous faites référence à vos préoccupations personnelles et vous me dites que, malgré vos efforts, rien de concret n’a été obtenu. Or, il faut prendre en compte la situation la plus courante et, de façon générale, un tel état de fait s’explique par l’attention démesurée qui est accordée à ce qui n’est nullement essentiel. De ce fait, on ne prend pas en compte des propositions qui sont bonnes dans les domaines essentiels et même en ce qui est accessoire, alors que seuls certains aspects totalement secondaires ne conviennent pas. Si l’on veut admettre la vérité intangible, on peut comprendre que la plénitude n’existe pas dans le monde, que seul le Saint béni soit-Il est parfait. Il est donc certain que le fiancé ou la fiancée ne sont pas parfaits et notre Torah, Torah de vie, a été donnée précisément pour s’élever, d’une étape vers l’autre, vers l’intégrité du genre humain.
Bien entendu, mon but n’est pas de vous faire de la morale, mais de vous souligner qu’il en est peut-être ainsi, également pour ce qui vous concerne. Si c’est effectivement le cas, il n’est pas surprenant qu’il en soit ainsi. Pour autant, tout dépend de vous. Si, à l’avenir, vous examinez l’aspect essentiel des propositions, ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, si vous adressez votre prière à Celui Qui constitue les couples, comme le soulignent nos Sages et comme il est dit : “ Une femme avisée provient de D.ieu ”, D.ieu fera que vous trouviez l’épouse qui vous convient, matériellement et spirituellement.
La divine Providence vous a confié le rôle d’éduquer les enfants d’Israël. Plus vous vous engagerez sincèrement en cette mission divine et plus vous hâterez la bénédiction de D.ieu, en tous vos besoins, en général et en celui-ci, en particulier. Puisse D.ieu faire que vous me donniez bientôt de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
24 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 22 Kislev et je suis surpris de constater que vous ne me précisez pas si vous avez pris part à la réunion ‘hassidique, au jour lumineux du 19 Kislev, qui vient d’avoir lieu. J’espère que vous connaissez l’histoire de ce jour et tout ce qui le concerne.
Vous faites référence à vos préoccupations personnelles et vous me dites que, malgré vos efforts, rien de concret n’a été obtenu. Or, il faut prendre en compte la situation la plus courante et, de façon générale, un tel état de fait s’explique par l’attention démesurée qui est accordée à ce qui n’est nullement essentiel. De ce fait, on ne prend pas en compte des propositions qui sont bonnes dans les domaines essentiels et même en ce qui est accessoire, alors que seuls certains aspects totalement secondaires ne conviennent pas. Si l’on veut admettre la vérité intangible, on peut comprendre que la plénitude n’existe pas dans le monde, que seul le Saint béni soit-Il est parfait. Il est donc certain que le fiancé ou la fiancée ne sont pas parfaits et notre Torah, Torah de vie, a été donnée précisément pour s’élever, d’une étape vers l’autre, vers l’intégrité du genre humain.
Bien entendu, mon but n’est pas de vous faire de la morale, mais de vous souligner qu’il en est peut-être ainsi, également pour ce qui vous concerne. Si c’est effectivement le cas, il n’est pas surprenant qu’il en soit ainsi. Pour autant, tout dépend de vous. Si, à l’avenir, vous examinez l’aspect essentiel des propositions, ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, si vous adressez votre prière à Celui Qui constitue les couples, comme le soulignent nos Sages et comme il est dit : “ Une femme avisée provient de D.ieu ”, D.ieu fera que vous trouviez l’épouse qui vous convient, matériellement et spirituellement.
La divine Providence vous a confié le rôle d’éduquer les enfants d’Israël. Plus vous vous engagerez sincèrement en cette mission divine et plus vous hâterez la bénédiction de D.ieu, en tous vos besoins, en général et en celui-ci, en particulier. Puisse D.ieu faire que vous me donniez bientôt de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,