Lettre n° 5956
Par la grâce de D.ieu,
29 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre de la veille de ‘Hanouka, dans laquelle vous me faites part du parti que l’on vous propose et qui vous convient. Vous voyez en cela une double Mitsva, le salut d’une âme juive qui reviendra vers sa source, un mode de vie basé sur la Torah et les Mitsvot, d’une part, le mariage, d’autre part.
De façon générale, nos Sages disent à ce propos que “ l’on ne constitue pas des bottes de Mitsvot ”. L’usage courant veut que deux personnes ne se marient pas pour que l’une éduque l’autre, encore moins pour modifier les points les plus essentiels de la vie de l’autre. Bien plus, selon ce que votre lettre semble indiquer, ce jeune homme a adopté un tel comportement depuis plusieurs années déjà et, soudain, on lui demanderait de se soumettre à la Torah et aux Mitsvot, au quotidien, c’est-à-dire de changer ses habitudes, chaque jour, à différentes reprises. Et, même si l’on accepte le principe de ce changement, on n’imagine pas toujours ce que cela représente, quand on a eu, pendant très longtemps, un comportement opposé.
Vous ne me précisez pas, dans votre lettre, comment ce jeune homme a réagi à la condition que vous avez posée et surtout de quelle manière il vous a répondu. L’accepte-t-il parce qu’il n’a pas le choix ou bien le fait-il de bon cœur et même avec joie et enthousiasme ?
En tout état de cause, même si sa réponse a été la plus satisfaisante, vous concluez votre lettre en disant que vous n’avez pas fixé de date et il serait donc bon que ce jeune homme adopte tout de suite le mode de vie que vous attendez de lui. Les semaines qui viennent seront, en quelque sorte, une période d’essai pour lui et pour vous.
Que D.ieu, Qui accorde Sa Providence à chacun, vous guide sur le chemin qui sera bon pour vous, d’un bien visible et tangible.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
29 Kislev 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre de la veille de ‘Hanouka, dans laquelle vous me faites part du parti que l’on vous propose et qui vous convient. Vous voyez en cela une double Mitsva, le salut d’une âme juive qui reviendra vers sa source, un mode de vie basé sur la Torah et les Mitsvot, d’une part, le mariage, d’autre part.
De façon générale, nos Sages disent à ce propos que “ l’on ne constitue pas des bottes de Mitsvot ”. L’usage courant veut que deux personnes ne se marient pas pour que l’une éduque l’autre, encore moins pour modifier les points les plus essentiels de la vie de l’autre. Bien plus, selon ce que votre lettre semble indiquer, ce jeune homme a adopté un tel comportement depuis plusieurs années déjà et, soudain, on lui demanderait de se soumettre à la Torah et aux Mitsvot, au quotidien, c’est-à-dire de changer ses habitudes, chaque jour, à différentes reprises. Et, même si l’on accepte le principe de ce changement, on n’imagine pas toujours ce que cela représente, quand on a eu, pendant très longtemps, un comportement opposé.
Vous ne me précisez pas, dans votre lettre, comment ce jeune homme a réagi à la condition que vous avez posée et surtout de quelle manière il vous a répondu. L’accepte-t-il parce qu’il n’a pas le choix ou bien le fait-il de bon cœur et même avec joie et enthousiasme ?
En tout état de cause, même si sa réponse a été la plus satisfaisante, vous concluez votre lettre en disant que vous n’avez pas fixé de date et il serait donc bon que ce jeune homme adopte tout de suite le mode de vie que vous attendez de lui. Les semaines qui viennent seront, en quelque sorte, une période d’essai pour lui et pour vous.
Que D.ieu, Qui accorde Sa Providence à chacun, vous guide sur le chemin qui sera bon pour vous, d’un bien visible et tangible.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,