Lettre n° 5958
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Kislev et je suis surpris que vous ne me disiez rien de la réunion ‘hassidique, à la date lumineuse du 19 Kislev. En effet, ce jour est un Roch Hachana et, tout comme la tête, Roch, porte en elle tous les membres du corps qu’elle vivifie, celui-ci inclut tous les jours de l’année, qui en portent la trace.
Vous me parlez d’un jeune homme, élève de la Yechiva Tom’heï Temimim(1), auquel vous avez écrit pour lui dire ce qu’il doit étudier. Cela est, bien entendu, étonnant et surprenant. En effet, quand un élève entre à la Yechiva, il doit accepter la décision de sa direction et non se plier à une autorité extérieure. Vous avez sûrement gardé le souvenir de ce qui a toujours été la règle, à la Yechiva Tom’heï Temimim. Bien entendu, cela n’exclut pas la possibilité pour vous de faire part de votre avis à la direction de la Yechiva. A l’opposé, votre manière de procéder est à exclure.
Vous faites allusion à ce malade(2). Il existe, en pareil cas, des médicaments qui non seulement allègent les crises, mais, en outre, les espacent, de plus en plus. Toutefois, je suis surpris, car le médecin que vous mentionnez dans votre lettre est un spécialiste, en la matière. Peut-être n’applique-t-on pas ses prescriptions lesquelles, de ce fait, restent sans effet.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Vraisemblablement envoyé dans cette Yechiva par le destinataire de cette lettre.
(2) Atteint d’épilepsie.
1er jour de Roch ‘Hodech Tévet 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Kislev et je suis surpris que vous ne me disiez rien de la réunion ‘hassidique, à la date lumineuse du 19 Kislev. En effet, ce jour est un Roch Hachana et, tout comme la tête, Roch, porte en elle tous les membres du corps qu’elle vivifie, celui-ci inclut tous les jours de l’année, qui en portent la trace.
Vous me parlez d’un jeune homme, élève de la Yechiva Tom’heï Temimim(1), auquel vous avez écrit pour lui dire ce qu’il doit étudier. Cela est, bien entendu, étonnant et surprenant. En effet, quand un élève entre à la Yechiva, il doit accepter la décision de sa direction et non se plier à une autorité extérieure. Vous avez sûrement gardé le souvenir de ce qui a toujours été la règle, à la Yechiva Tom’heï Temimim. Bien entendu, cela n’exclut pas la possibilité pour vous de faire part de votre avis à la direction de la Yechiva. A l’opposé, votre manière de procéder est à exclure.
Vous faites allusion à ce malade(2). Il existe, en pareil cas, des médicaments qui non seulement allègent les crises, mais, en outre, les espacent, de plus en plus. Toutefois, je suis surpris, car le médecin que vous mentionnez dans votre lettre est un spécialiste, en la matière. Peut-être n’applique-t-on pas ses prescriptions lesquelles, de ce fait, restent sans effet.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Vraisemblablement envoyé dans cette Yechiva par le destinataire de cette lettre.
(2) Atteint d’épilepsie.