Lettre n° 5979
Par la grâce de D.ieu,
9 Tévet 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 29 Kislev, mois de la délivrance, dans laquelle vous me décrivez brièvement les actions qui ont été menées en relation avec le jour lumineux du 19 Kislev, fête de la victoire et de la délivrance de l’Admour Hazaken, de même que de tous ceux qui sont liés et attachés à lui. Puisse D.ieu faire qu’il en résulte une motivation pour toute l’année, dans les pensées, les paroles et les actions de chaque jour.
Il est sans doute inutile de rappeler, à vous-même et à tous ceux qui sont actifs en la matière, qu’il est nécessaire, par la suite, de maintenir le contact avec tous les participants à ces réunions ‘hassidiques. Il est expliqué par ailleurs qu’une telle réunion sert à labourer et à semer ou, tout au plus, à commencer la récolte. L’essentiel de cette récolte, en revanche, intervient par la suite. C’est une évidence.
Vous me faites part de la fixation du mariage de votre sœur au mois de Mena’hem Av. Je suis, bien entendu, surpris par un délai aussi long, d’autant que les fiancés se trouvent dans la même ville. De même, il est surprenant d’avoir fait le choix de Mena’hem Av. En cette période de l’année, le début de Tamouz est préférable à n’importe quel jour d’Av. Vous consulterez, à ce sujet, les Tossafot, à la fin du traité Meguila, les responsa ‘Hatam Sofer, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 160. Certes, des objections ont été soulevées sur l’affirmation qu’il formule, mais pourquoi interviendrions-nous en la matière ? De ce point de vue, le plus vite est le mieux, c’est une évidence.
Vous évoquez le lieu où s’installera le couple, après le mariage, en un moment bon et fructueux. Il serait bon de choisir une ville dans laquelle on craint D.ieu, où le prix des logements est abordable, au moins de manière relative.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
9 Tévet 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 29 Kislev, mois de la délivrance, dans laquelle vous me décrivez brièvement les actions qui ont été menées en relation avec le jour lumineux du 19 Kislev, fête de la victoire et de la délivrance de l’Admour Hazaken, de même que de tous ceux qui sont liés et attachés à lui. Puisse D.ieu faire qu’il en résulte une motivation pour toute l’année, dans les pensées, les paroles et les actions de chaque jour.
Il est sans doute inutile de rappeler, à vous-même et à tous ceux qui sont actifs en la matière, qu’il est nécessaire, par la suite, de maintenir le contact avec tous les participants à ces réunions ‘hassidiques. Il est expliqué par ailleurs qu’une telle réunion sert à labourer et à semer ou, tout au plus, à commencer la récolte. L’essentiel de cette récolte, en revanche, intervient par la suite. C’est une évidence.
Vous me faites part de la fixation du mariage de votre sœur au mois de Mena’hem Av. Je suis, bien entendu, surpris par un délai aussi long, d’autant que les fiancés se trouvent dans la même ville. De même, il est surprenant d’avoir fait le choix de Mena’hem Av. En cette période de l’année, le début de Tamouz est préférable à n’importe quel jour d’Av. Vous consulterez, à ce sujet, les Tossafot, à la fin du traité Meguila, les responsa ‘Hatam Sofer, partie Ora’h ‘Haïm, chapitre 160. Certes, des objections ont été soulevées sur l’affirmation qu’il formule, mais pourquoi interviendrions-nous en la matière ? De ce point de vue, le plus vite est le mieux, c’est une évidence.
Vous évoquez le lieu où s’installera le couple, après le mariage, en un moment bon et fructueux. Il serait bon de choisir une ville dans laquelle on craint D.ieu, où le prix des logements est abordable, au moins de manière relative.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,