Lettre n° 6072

Par la grâce de D.ieu,
23 Chevat 5718,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 17 Chevat et, en un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre.

En fonction de ce que disent certains textes de ‘Hassidout, il vous appartient de redoubler d’attention afin de ne pas prononcer de paroles inutiles et, a fortiori, interdites. Je ne fais que vous rappeler cette idée, car je suis sûr que vous êtes effectivement scrupuleux, en la matière, que vous multipliez les mots de la Torah et de la prière. En effet, ces mots sont comparables à la peau, comme le précise le Torah Or, à la page 58a. Et, le Saint béni soit-Il agit “ mesure pour mesure ”, mais en proportion largement accrue. En agissant de la sorte, on réunit la matérialité et la spiritualité. C’est une évidence.

Vous avez sûrement connaissance des études portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya, qui sont établies et vous les respectez. Bien entendu, tout ajout à la Torah et aux Mitsvot, en général, renforce la satisfaction des souhaits du cœur de l’homme, d’une manière positive, matériellement et spirituellement.

Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,