Lettre n° 6075
Par la grâce de D.ieu,
24 Chevat 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Naftali(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre concernant les “ Conversations avec les jeunes ”. Je l’ai transmise au Merkaz le Inyaneï ‘Hinou’h, qui vous fera une réponse détaillée, mais, en tout état de cause, l’idée générale de celle-ci est la suivante. Vous avez, bien entendu, raison d’affirmer qu’une traduction textuelle n’est pas adaptée à la jeunesse. Je l’ai moi-même écrit, à différentes reprises, à propos de traductions destinées aux adultes. Celles qui sont textuelles empêchent d’élargir le cercle de ceux qui les lisent, les étudient et les consultent, ce qui n’est pas le cas pour les causeries, je veux dire pour les dessins et pour la manière de les réaliser, lesquels doivent effectivement être sous la forme qu’ils ont dans les “ Conversations ”(2). Et, c’est également le cas pour l’édition française, de manière à souligner l’unité de toutes les éditions.
Je suis surpris que vous ne précisiez pas, dans votre lettre, le temps que vous consacrez à l’étude de la ‘Hassidout et ce que vous y ajoutez, à la suite de ce que vous m’avez écrit, à ce sujet, il y a quelques mois. Je vous adresse ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela. Vous me direz également que vous vous servez des possibilités qui vous sont accordées d’influencer le cercle de vos lecteurs en diffusant les sources(3), y compris à l’extérieur. A n’en pas douter, certains de vos lecteurs s’y trouvent(4).
Avec ma bénédiction de réussite pour tout cela,
Notes
(1) Le Rav N. Kraus, de Tel Aviv. Voir, à ce sujet, la lettre n°5283.
(2) Le Rabbi cite à la fois le nom de l’édition en Yiddish, Chmoussen et celui de l’édition anglaise, Talks.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Sont à “ l’extérieur ” de la pratique juive.
24 Chevat 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Naftali(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre concernant les “ Conversations avec les jeunes ”. Je l’ai transmise au Merkaz le Inyaneï ‘Hinou’h, qui vous fera une réponse détaillée, mais, en tout état de cause, l’idée générale de celle-ci est la suivante. Vous avez, bien entendu, raison d’affirmer qu’une traduction textuelle n’est pas adaptée à la jeunesse. Je l’ai moi-même écrit, à différentes reprises, à propos de traductions destinées aux adultes. Celles qui sont textuelles empêchent d’élargir le cercle de ceux qui les lisent, les étudient et les consultent, ce qui n’est pas le cas pour les causeries, je veux dire pour les dessins et pour la manière de les réaliser, lesquels doivent effectivement être sous la forme qu’ils ont dans les “ Conversations ”(2). Et, c’est également le cas pour l’édition française, de manière à souligner l’unité de toutes les éditions.
Je suis surpris que vous ne précisiez pas, dans votre lettre, le temps que vous consacrez à l’étude de la ‘Hassidout et ce que vous y ajoutez, à la suite de ce que vous m’avez écrit, à ce sujet, il y a quelques mois. Je vous adresse ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela. Vous me direz également que vous vous servez des possibilités qui vous sont accordées d’influencer le cercle de vos lecteurs en diffusant les sources(3), y compris à l’extérieur. A n’en pas douter, certains de vos lecteurs s’y trouvent(4).
Avec ma bénédiction de réussite pour tout cela,
Notes
(1) Le Rav N. Kraus, de Tel Aviv. Voir, à ce sujet, la lettre n°5283.
(2) Le Rabbi cite à la fois le nom de l’édition en Yiddish, Chmoussen et celui de l’édition anglaise, Talks.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Sont à “ l’extérieur ” de la pratique juive.