Lettre n° 6081
[28 Chevat 5718]
J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, la brève description de vos réalisations sacrées pour la diffusion du Judaïsme, en général et des sources, en particulier. De même, vous évoquez, D.ieu merci, l’impression faite par la visite ici de tous ceux que vous citez. Mais, simultanément, il est clair qu’on doit se préserver de se contenter de cela, ne pas dire : “ Que mes entrailles se réjouissent ! ”, dès lors que l’on aperçoit déjà des résultats concrets. En effet, il me semble vous avoir déjà écrit, à maintes reprises, que l’impression d’une réunion ‘hassidique n’est qu’un labourage, tout au plus une plantation. Par la suite, plusieurs travaux, des travaux importants, restent encore nécessaires, afin que tout pousse et produise des fruits, de la manière qui convient.
Bien plus, dans la mesure où le labourage et les semailles ont été une réussite, que des forces ont été investies en la matière et que l’on a donc observé l’aide de D.ieu, il est clair qu’est d’autant plus grande la responsabilité de tous ceux qui doivent se consacrer à cette activité par la suite, effectuer tous les travaux nécessaires pour que les fruits poussent de la manière qui convient, pour que l’on puisse les couper et les cueillir.
Sans doute aucune autre explication n’est-elle nécessaire, tant cela est évident. Néanmoins, ce travail, en votre endroit, n’est qu’un début. C’est donc le moment de s’assurer que l’on ne fait pas une évaluation exagérée de ces événements, y compris quand ils sont positifs, agréables et qu’il faut les apprécier, sans pour autant leur accorder une valeur démesurée. C’est une évidence. Bien entendu, ceci s’applique à tous ceux qui ont été marqués par cette visite. Ceux-là doivent également prendre ces précautions, savoir que l’émotion n’est pas une fin en soi, qu’il faut ensuite réintégrer la matière, mettre en pratique la Torah et les Mitsvot, dans la vie quotidienne. C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela également, dans une proportion sans cesse plus large. En effet, la Torah ordonne et assure que : “ l’on s’élève dans la sainteté ”.
J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, la brève description de vos réalisations sacrées pour la diffusion du Judaïsme, en général et des sources, en particulier. De même, vous évoquez, D.ieu merci, l’impression faite par la visite ici de tous ceux que vous citez. Mais, simultanément, il est clair qu’on doit se préserver de se contenter de cela, ne pas dire : “ Que mes entrailles se réjouissent ! ”, dès lors que l’on aperçoit déjà des résultats concrets. En effet, il me semble vous avoir déjà écrit, à maintes reprises, que l’impression d’une réunion ‘hassidique n’est qu’un labourage, tout au plus une plantation. Par la suite, plusieurs travaux, des travaux importants, restent encore nécessaires, afin que tout pousse et produise des fruits, de la manière qui convient.
Bien plus, dans la mesure où le labourage et les semailles ont été une réussite, que des forces ont été investies en la matière et que l’on a donc observé l’aide de D.ieu, il est clair qu’est d’autant plus grande la responsabilité de tous ceux qui doivent se consacrer à cette activité par la suite, effectuer tous les travaux nécessaires pour que les fruits poussent de la manière qui convient, pour que l’on puisse les couper et les cueillir.
Sans doute aucune autre explication n’est-elle nécessaire, tant cela est évident. Néanmoins, ce travail, en votre endroit, n’est qu’un début. C’est donc le moment de s’assurer que l’on ne fait pas une évaluation exagérée de ces événements, y compris quand ils sont positifs, agréables et qu’il faut les apprécier, sans pour autant leur accorder une valeur démesurée. C’est une évidence. Bien entendu, ceci s’applique à tous ceux qui ont été marqués par cette visite. Ceux-là doivent également prendre ces précautions, savoir que l’émotion n’est pas une fin en soi, qu’il faut ensuite réintégrer la matière, mettre en pratique la Torah et les Mitsvot, dans la vie quotidienne. C’est une évidence.
Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela également, dans une proportion sans cesse plus large. En effet, la Torah ordonne et assure que : “ l’on s’élève dans la sainteté ”.