Lettre n° 6106
Par la grâce de D.ieu,
11 Adar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre nature. Vous me dites que vous ne savez pas comment vous changer. Selon votre expression, dans votre lettre, ce comportement est profondément implanté en vous. Or, vous connaissez l’enseignement de notre sainte Torah selon lequel on peut l’étudier d’une manière intéressée, car c’est ainsi qu’à terme, on parvient à le faire de manière désintéressée. Il est bien évident que ce n’est pas la meilleure façon d’agir. En outre, il y a plusieurs façons d’être intéressé et l’on peut mettre en pratique cet enseignement de nos Sages avec la plus fine d’entre elles.
Il est clair qu’il faut de l’élan et de la constance dans l’étude, de même que dans la pratique des Mitsvot et nos Sages disent bien que l’on peut “ se consacrer à la Torah et aux Mitsvot d’une manière intéressée ”. L’une des Mitsvot les plus fondamentales, en la matière, est la prière fervente, qui apporte la guérison à tout ce qui concerne l’homme servant D.ieu pas à pas, ainsi qu’il est dit : “ Je le renverrai peu à peu ” et comme l’indiquent également quelques passages du Tanya.
Il découle de tout cela que vous devez étudier la Torah avec élan et ardeur ou encore, selon l’expression bien connue, “ apprendre en abondance ” la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, accomplir les Mitsvot de la meilleure façon. Bien entendu, il est possible de le faire sans remettre en cause les besoins physiques du corps. En effet, l’un des stratagèmes du mauvais penchant consiste à s’en prendre à sa santé, afin d’affaiblir le service de D.ieu, par la suite. Pour l’heure, oubliez donc l’événement à propos duquel vous m’écrivez. Parfois, le fait d’y penser a également une origine qui n’est pas pure. C’est une évidence.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
11 Adar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre nature. Vous me dites que vous ne savez pas comment vous changer. Selon votre expression, dans votre lettre, ce comportement est profondément implanté en vous. Or, vous connaissez l’enseignement de notre sainte Torah selon lequel on peut l’étudier d’une manière intéressée, car c’est ainsi qu’à terme, on parvient à le faire de manière désintéressée. Il est bien évident que ce n’est pas la meilleure façon d’agir. En outre, il y a plusieurs façons d’être intéressé et l’on peut mettre en pratique cet enseignement de nos Sages avec la plus fine d’entre elles.
Il est clair qu’il faut de l’élan et de la constance dans l’étude, de même que dans la pratique des Mitsvot et nos Sages disent bien que l’on peut “ se consacrer à la Torah et aux Mitsvot d’une manière intéressée ”. L’une des Mitsvot les plus fondamentales, en la matière, est la prière fervente, qui apporte la guérison à tout ce qui concerne l’homme servant D.ieu pas à pas, ainsi qu’il est dit : “ Je le renverrai peu à peu ” et comme l’indiquent également quelques passages du Tanya.
Il découle de tout cela que vous devez étudier la Torah avec élan et ardeur ou encore, selon l’expression bien connue, “ apprendre en abondance ” la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, accomplir les Mitsvot de la meilleure façon. Bien entendu, il est possible de le faire sans remettre en cause les besoins physiques du corps. En effet, l’un des stratagèmes du mauvais penchant consiste à s’en prendre à sa santé, afin d’affaiblir le service de D.ieu, par la suite. Pour l’heure, oubliez donc l’événement à propos duquel vous m’écrivez. Parfois, le fait d’y penser a également une origine qui n’est pas pure. C’est une évidence.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,