Lettre n° 6107
Par la grâce de D.ieu,
11 Adar 5718,
Brooklyn,
Concernant le problème que l’on sait(1), vous me dites que “ le prisonnier ne se libère pas lui-même ”. Il est bien évident que cela n’a pas été dit à ce propos, puisque nos Sages affirment que l’on est obligé de rechercher, comme on le ferait, précisément, pour ce que l’on a perdu, c’est-à-dire avec le plus grand empressement.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse concrètement l’Injonction de notre sainte Torah à propos du mois d’Adar, selon laquelle il convient de multiplier sa joie. Il s’agit bien là d’une joie liée à un bien visible et tangible, conformément à la différence qui est faite entre Pourim et ‘Hanouka(2). De fait, en l’occurrence, le miracle reçut une apparence naturelle par l’intermédiaire de fiançailles et d’un mariage(3).
Notes
(1) La nécessité de se fiancer.
(2) A Pourim, le danger était physique et ce qui est concret revêt donc une plus grande importance. Le danger de ‘Hanouka, par contre, était uniquement moral.
(3) D’Esther et A’hachvéroch.
11 Adar 5718,
Brooklyn,
Concernant le problème que l’on sait(1), vous me dites que “ le prisonnier ne se libère pas lui-même ”. Il est bien évident que cela n’a pas été dit à ce propos, puisque nos Sages affirment que l’on est obligé de rechercher, comme on le ferait, précisément, pour ce que l’on a perdu, c’est-à-dire avec le plus grand empressement.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse concrètement l’Injonction de notre sainte Torah à propos du mois d’Adar, selon laquelle il convient de multiplier sa joie. Il s’agit bien là d’une joie liée à un bien visible et tangible, conformément à la différence qui est faite entre Pourim et ‘Hanouka(2). De fait, en l’occurrence, le miracle reçut une apparence naturelle par l’intermédiaire de fiançailles et d’un mariage(3).
Notes
(1) La nécessité de se fiancer.
(2) A Pourim, le danger était physique et ce qui est concret revêt donc une plus grande importance. Le danger de ‘Hanouka, par contre, était uniquement moral.
(3) D’Esther et A’hachvéroch.