Lettre n° 6109

Par la grâce de D.ieu,
11 Adar 5718,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre de ce vendredi, me demandant une bénédiction. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. Dans une telle prière, on mentionne également le nom de la mère et vous voudrez bien me le communiquer, en Hébreu.

Il est sans doute inutile de vous souligner que, plus l’on intensifie son engagement à la Torah et aux Mitsvot, plus l’on multiplie les bénédictions de D.ieu, en tous ses besoins. Bien plus, un élève de Yechiva doit intensifier son étude de notre sainte Torah, qui est également appelée Torah de vie, y compris au sens littéral, dans ce monde.

Vous faites allusion à l’oubli. Comme vous le savez, il existe une pratique favorable, en la matière. Il faut respecter l’immersion rituelle d’Ezra, étudier la Torah et prier avec un livre et un Sidour, connaître par cœur quelques chapitres de Michna et au moins un de Tanya. De même, il serait bon, chaque jour de semaine, avant la prière du matin, de prélever une pièce pour la Tsédaka.

Avec ma bénédiction,

Pour le Rabbi Chlita,