Lettre n° 6110

Par la grâce de D.ieu,
12 Adar 5718,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous me dites que, pour une certaine raison, quelqu’un s’est affaibli, dans l’exercice de sa mission consistant à diffuser les sources(1). Celui-ci méditera sûrement, de la manière qui convient et sincèrement, au début et au fondement des quatre parties du Choul’han Arou’h : “ J’ai placé D.ieu en permanence face à moi ” et, en conséquence, “ on n’éprouvera pas de honte, face à ceux qui se moquent ”. Il est amplement suffisant de méditer à tout cela, pour se dire que, bien au contraire, il est nécessaire, à l’avenir, de redoubler d’ardeur dans cette diffusion(2), y compris en l’extérieur qui se trouve en l’homme. Puisse D.ieu faire que cela se passe de la manière décrite par Iguéret Ha Techouva, à la fin du chapitre 9 : “ s’il avait l’habitude…(3), deux…(4) ”, ce caractère double conférant la sagesse.

Je vous adresse ma bénédiction afin d’étudier la Torah avec crainte de D.ieu et de connaître une immense réussite en votre mission sacrée de diffusion des sources de la ‘Hassidout, jusqu’à l’extérieur et même l’extérieur de l’extérieur.

Notes

(1) De la ‘Hassidout.
(2) Afin de répondre à ces moqueurs.
(3) D’étudier un chapitre.
(4) Il en étudiera deux.