Lettre n° 6118
Par la grâce de D.ieu,
19 Adar 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre mari, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en fonction du contenu de votre lettre, en particulier pour que vous ayez une bonne santé et pour que soit résolu le problème de votre logement.
Il est sûrement inutile de vous faire remarquer que chaque homme a des domaines importants, auxquels il accorde la priorité et d’autres, moins primordiaux, qui ne viennent qu’au second ou au troisième rang. Parmi les préoccupations les plus importantes, figurent la satisfaction des enfants et la santé. Et, même si un problème se fait jour au deuxième ou au troisième rang, il est clair que l’on doit d’abord satisfaire les besoins primordiaux.
Il en est bien ainsi, pour ce qui vous concerne. D.ieu vous a manifesté une grande bonté et Il vous a accordé une satisfaction juive de vos enfants et de vos petits-enfants. Il en est de même pour votre santé, surtout si vous comparez votre état actuel à la situation précédente. Vous devez, chaque jour, remercier D.ieu et Le louer pour son immense bonté. Point plus important encore, vous devez raffermir votre confiance en D.ieu et être convaincue qu’en la matière également, vous observerez les bénédictions de D.ieu et Sa réussite, en tous vos besoins. Il n’y a donc nullement lieu de prendre à cœur votre problème de logement. L’issue sera sans doute réellement la meilleure qui soit, même si l’on a parfois du mal à l’imaginer.
La réponse à votre question de logement est donc la suivante. A mon sens, il faut intervenir de la façon normale, ne pas se hâter de prendre un appartement. Le problème se posera sûrement après la fête de Pessa’h. Et, si une bonne opportunité se présente avant cette fête, il serait peut-être bon de la saisir, ce qui évitera de passer la fête dans la vieille maison. Mais, comme je l’ai dit plus haut, l’essentiel est de renforcer votre confiance en D.ieu. De la sorte, vous observerez effectivement la bénédiction et la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous évoquez le remboursement de vos dettes. Il n’y a pas lieu de le prendre à cœur. Vous le ferez quand vous gagnerez mieux votre vie.
19 Adar 5718,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre mari, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en fonction du contenu de votre lettre, en particulier pour que vous ayez une bonne santé et pour que soit résolu le problème de votre logement.
Il est sûrement inutile de vous faire remarquer que chaque homme a des domaines importants, auxquels il accorde la priorité et d’autres, moins primordiaux, qui ne viennent qu’au second ou au troisième rang. Parmi les préoccupations les plus importantes, figurent la satisfaction des enfants et la santé. Et, même si un problème se fait jour au deuxième ou au troisième rang, il est clair que l’on doit d’abord satisfaire les besoins primordiaux.
Il en est bien ainsi, pour ce qui vous concerne. D.ieu vous a manifesté une grande bonté et Il vous a accordé une satisfaction juive de vos enfants et de vos petits-enfants. Il en est de même pour votre santé, surtout si vous comparez votre état actuel à la situation précédente. Vous devez, chaque jour, remercier D.ieu et Le louer pour son immense bonté. Point plus important encore, vous devez raffermir votre confiance en D.ieu et être convaincue qu’en la matière également, vous observerez les bénédictions de D.ieu et Sa réussite, en tous vos besoins. Il n’y a donc nullement lieu de prendre à cœur votre problème de logement. L’issue sera sans doute réellement la meilleure qui soit, même si l’on a parfois du mal à l’imaginer.
La réponse à votre question de logement est donc la suivante. A mon sens, il faut intervenir de la façon normale, ne pas se hâter de prendre un appartement. Le problème se posera sûrement après la fête de Pessa’h. Et, si une bonne opportunité se présente avant cette fête, il serait peut-être bon de la saisir, ce qui évitera de passer la fête dans la vieille maison. Mais, comme je l’ai dit plus haut, l’essentiel est de renforcer votre confiance en D.ieu. De la sorte, vous observerez effectivement la bénédiction et la réussite.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous évoquez le remboursement de vos dettes. Il n’y a pas lieu de le prendre à cœur. Vous le ferez quand vous gagnerez mieux votre vie.