Lettre n° 6158
Par la grâce de D.ieu,
4 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me parlez d’une certaine personne en précisant que vous n’avez plus de mots pour dialoguer avec elle. Vous comprendrez que cette affirmation contredit votre conclusion, énoncée par la suite, selon laquelle vous n’avez pas changé d’attitude. En effet, il n’est de vérité que la Torah et ses enseignements. Or, l’un de ceux-ci précise que chaque Juif désire mettre en pratique ce qui est dit dans la Torah. Toutefois, certains sont victimes de leur mauvais penchant et, en la matière, la contrainte peut être efficace, puisqu’elle supprime les pressions que celui-ci exerce.
Parfois, la contrainte qui s’exprime par la parole se révèle plus efficace que celle qui a recours à d’autres moyens et, bien entendu, elle est plus agréable. Tant que l’attitude de cette personne n’est pas modifiée, c’est la preuve tangible qu’on ne lui a pas parlé, qu’on ne s’est pas adressé à elle. Nos Sages expliquent que la Mitsva de formuler des reproches à son prochain va jusqu’à la réprimande, jusqu’à la malédiction, jusqu’à la flagellation. Telle est la Hala’ha, établie par la partie révélée de la Torah. Combien plus en est-il ainsi si l’on veut dépasser la ligne de la Loi, d’après l’enseignement profond de la Torah. Il est bien clair qu’au final, nul ne sera définitivement écarté, d’autant que la fin de l’exil approche et que chacun doit donc être entièrement méritant, ce qui veut dire que le mal sera séparé du bien, de sorte qu’un côté soit entièrement positif. Il est donc une certitude que l’on peut convaincre cette personne.
4 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me parlez d’une certaine personne en précisant que vous n’avez plus de mots pour dialoguer avec elle. Vous comprendrez que cette affirmation contredit votre conclusion, énoncée par la suite, selon laquelle vous n’avez pas changé d’attitude. En effet, il n’est de vérité que la Torah et ses enseignements. Or, l’un de ceux-ci précise que chaque Juif désire mettre en pratique ce qui est dit dans la Torah. Toutefois, certains sont victimes de leur mauvais penchant et, en la matière, la contrainte peut être efficace, puisqu’elle supprime les pressions que celui-ci exerce.
Parfois, la contrainte qui s’exprime par la parole se révèle plus efficace que celle qui a recours à d’autres moyens et, bien entendu, elle est plus agréable. Tant que l’attitude de cette personne n’est pas modifiée, c’est la preuve tangible qu’on ne lui a pas parlé, qu’on ne s’est pas adressé à elle. Nos Sages expliquent que la Mitsva de formuler des reproches à son prochain va jusqu’à la réprimande, jusqu’à la malédiction, jusqu’à la flagellation. Telle est la Hala’ha, établie par la partie révélée de la Torah. Combien plus en est-il ainsi si l’on veut dépasser la ligne de la Loi, d’après l’enseignement profond de la Torah. Il est bien clair qu’au final, nul ne sera définitivement écarté, d’autant que la fin de l’exil approche et que chacun doit donc être entièrement méritant, ce qui veut dire que le mal sera séparé du bien, de sorte qu’un côté soit entièrement positif. Il est donc une certitude que l’on peut convaincre cette personne.