Lettre n° 6159
Par la grâce de D.ieu,
5 Nissan 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples accomplissements, le Rav Nissan(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Nissan, avec ce qu’elle contenait. Comme vous me le demandez, je mentionnerai tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela. J’ai également reçu, en leur temps, des nouvelles des célébrations joyeuses de nos amis, les ‘Hassidim, à Miami(2), de l’enseignement public du Tanya qui a été fixé dans cet endroit. Avant de le quitter, vous nommerez sûrement un remplaçant afin de renforcer tout cela. Bien plus, il nous est demandé non seulement de renforcer, mais aussi de développer ce qui concerne la Torah et les Mitsvot. Or, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec traîtrise envers Ses Créatures ” et Il nous demande de mener une telle action. Il accorde donc, d’emblée, les moyens de mettre Son Injonction en pratique. Tout dépend donc de celui qui suggère. En l’occurrence, on m’a décrit, de là-bas, l’impression qu’a faite votre cours de Tanya. Si vous correspondez avec ceux qui s’occuperont de ce cours, si, de temps à autre, vous en soulignez l’importance et la nécessité, j’ai bon espoir et je suis sûr que vous réussirez. De fait, l’assurance a été donnée que les paroles émanant du cœur pénètrent dans le cœur.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, par la présente, ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, pour une liberté véritable, liberté des tracas matériels et des tracas moraux, de tout ce qui empêche de servir D.ieu avec joie et enthousiasme. Puis, cette liberté et cette joie se poursuivront tout au long de l’année, d’autant que le service de D.ieu, comme l’ordonne notre Torah, Torah de vie, s’étend à tout ce qui concerne l’homme, à l’ensemble de la journée et de la nuit, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais Le ”. Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête et pour donner de bonnes nouvelles, pour de longs jours et de bonnes années,
Notes
(1) Le Rav N. Telushkin, de Brooklyn. Voir, à son sujet, les lettres n°6056, 6270 et 6416.
(2) Où le Rav Telushkin passait sans doute quelques temps, peut-être parce qu’il était invité à l’une de ces célébrations joyeuses.
5 Nissan 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples accomplissements, le Rav Nissan(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 4 Nissan, avec ce qu’elle contenait. Comme vous me le demandez, je mentionnerai tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela. J’ai également reçu, en leur temps, des nouvelles des célébrations joyeuses de nos amis, les ‘Hassidim, à Miami(2), de l’enseignement public du Tanya qui a été fixé dans cet endroit. Avant de le quitter, vous nommerez sûrement un remplaçant afin de renforcer tout cela. Bien plus, il nous est demandé non seulement de renforcer, mais aussi de développer ce qui concerne la Torah et les Mitsvot. Or, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec traîtrise envers Ses Créatures ” et Il nous demande de mener une telle action. Il accorde donc, d’emblée, les moyens de mettre Son Injonction en pratique. Tout dépend donc de celui qui suggère. En l’occurrence, on m’a décrit, de là-bas, l’impression qu’a faite votre cours de Tanya. Si vous correspondez avec ceux qui s’occuperont de ce cours, si, de temps à autre, vous en soulignez l’importance et la nécessité, j’ai bon espoir et je suis sûr que vous réussirez. De fait, l’assurance a été donnée que les paroles émanant du cœur pénètrent dans le cœur.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, par la présente, ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, pour une liberté véritable, liberté des tracas matériels et des tracas moraux, de tout ce qui empêche de servir D.ieu avec joie et enthousiasme. Puis, cette liberté et cette joie se poursuivront tout au long de l’année, d’autant que le service de D.ieu, comme l’ordonne notre Torah, Torah de vie, s’étend à tout ce qui concerne l’homme, à l’ensemble de la journée et de la nuit, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais Le ”. Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête et pour donner de bonnes nouvelles, pour de longs jours et de bonnes années,
Notes
(1) Le Rav N. Telushkin, de Brooklyn. Voir, à son sujet, les lettres n°6056, 6270 et 6416.
(2) Où le Rav Telushkin passait sans doute quelques temps, peut-être parce qu’il était invité à l’une de ces célébrations joyeuses.