Lettre n° 6163
Par la grâce de D.ieu,
7 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 2 Nissan, date de la Hilloula du Rabbi Rachab, dont le mérite nous protégera. Vous m’écrivez que vous avez vendu votre affaire et que, pour l’heure, vous ne pouvez pas formuler de propositions concrètes(1). A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’expliquer longuement que le découragement et la tristesse sont interdits, de façon générale et encore plus clairement dans ce domaine, comme l’expliquent notre sainte Torah, Torah de vie et surtout les livres de ‘Hassidout. Bien plus, c’est, au contraire, en raffermissant sa confiance que l’on redouble d’ardeur pour trouver une manière nouvelle, positive et plus large de gagner sa vie, en un bien visible et tangible.
J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, que vous apportez votre aide et votre concours aux saintes institutions et aux domaines d’activité de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous continuerez sûrement à le faire, à l’avenir et vous vous y emploierez même de manière accrue. Toutefois, comme je l’ai entendu quelques fois de mon beau-père, le Rabbi, quand on agit au profit de ces institutions et de ces réalisations, il est indispensable de recevoir un salaire. Certes, la dimension profonde et essentielle d’une telle activité, celle à laquelle on doit se consacrer avec vitalité, ne peut pas être évaluée en termes financiers. Pour autant, le temps que l’on y consacre et, plus encore, la nécessité de connaître le calme de l’esprit, afin que rien ne fasse obstacle à cette activité, rend nécessaire le versement du salaire qui convient. Et, vous connaissez, à ce propos, les récits(2) du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi. A mon sens, vous devez maintenant consacrer votre temps à venir en aide à ces institutions. Vous définirez cet effort et cet aide, ses modalités et son temps, avec le Rav. Vous fixerez également le montant de votre salaire qui, comme je l’ai dit, est nécessaire pour que l’on connaisse la réussite. En tout état de cause, vous conserverez un peu de temps libre, chaque jour, afin de maintenir également une activité commerciale, que vous n’abandonnerez pas. D.ieu vous conduira sur la voie qui sera bonne pour vous, d’un bien visible et tangible.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, par la présente, ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, une liberté véritable, liberté des tracas matériels et des tracas moraux, de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, avec joie et enthousiasme. Vous prolongerez cette liberté et cette joie tout au long de l’année. Bien plus, le service de D.ieu, comme l’ordonne notre Torah, Torah de vie, s’étend à tout ce qui concerne l’homme, tout au long de la journée et de la nuit, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”(3). Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
Notes
(1) Concernant l’avenir professionnel.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3659.
(3) Voir les deux lettres précédentes.
7 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 2 Nissan, date de la Hilloula du Rabbi Rachab, dont le mérite nous protégera. Vous m’écrivez que vous avez vendu votre affaire et que, pour l’heure, vous ne pouvez pas formuler de propositions concrètes(1). A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’expliquer longuement que le découragement et la tristesse sont interdits, de façon générale et encore plus clairement dans ce domaine, comme l’expliquent notre sainte Torah, Torah de vie et surtout les livres de ‘Hassidout. Bien plus, c’est, au contraire, en raffermissant sa confiance que l’on redouble d’ardeur pour trouver une manière nouvelle, positive et plus large de gagner sa vie, en un bien visible et tangible.
J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, que vous apportez votre aide et votre concours aux saintes institutions et aux domaines d’activité de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous continuerez sûrement à le faire, à l’avenir et vous vous y emploierez même de manière accrue. Toutefois, comme je l’ai entendu quelques fois de mon beau-père, le Rabbi, quand on agit au profit de ces institutions et de ces réalisations, il est indispensable de recevoir un salaire. Certes, la dimension profonde et essentielle d’une telle activité, celle à laquelle on doit se consacrer avec vitalité, ne peut pas être évaluée en termes financiers. Pour autant, le temps que l’on y consacre et, plus encore, la nécessité de connaître le calme de l’esprit, afin que rien ne fasse obstacle à cette activité, rend nécessaire le versement du salaire qui convient. Et, vous connaissez, à ce propos, les récits(2) du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi. A mon sens, vous devez maintenant consacrer votre temps à venir en aide à ces institutions. Vous définirez cet effort et cet aide, ses modalités et son temps, avec le Rav. Vous fixerez également le montant de votre salaire qui, comme je l’ai dit, est nécessaire pour que l’on connaisse la réussite. En tout état de cause, vous conserverez un peu de temps libre, chaque jour, afin de maintenir également une activité commerciale, que vous n’abandonnerez pas. D.ieu vous conduira sur la voie qui sera bonne pour vous, d’un bien visible et tangible.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, par la présente, ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, une liberté véritable, liberté des tracas matériels et des tracas moraux, de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, avec joie et enthousiasme. Vous prolongerez cette liberté et cette joie tout au long de l’année. Bien plus, le service de D.ieu, comme l’ordonne notre Torah, Torah de vie, s’étend à tout ce qui concerne l’homme, tout au long de la journée et de la nuit, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”(3). Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
Notes
(1) Concernant l’avenir professionnel.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3659.
(3) Voir les deux lettres précédentes.