Lettre n° 6170
Par la grâce de D.ieu,
9 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui m’est parvenue avec beaucoup de retard. Vous mentionnez votre seconde fille, qui se trouve aux Etats-Unis et qui, pour l’heure, n’est pas encore fiancée. Il est évident, surtout si l’on tient compte de l’usage aux Etats-Unis, qu’il m’est difficile d’intervenir, en la matière, tant que la personne concernée ne s’est pas manifestée elle-même pour solliciter un conseil ou, tout au moins, pour me faire part de sa situation. Il va, en effet, à l’encontre de la pratique locale, de s’adresser à quelqu’un pour lui demander ce qu’il fait. Combien plus en est-il ainsi pour les jeunes, même s’ils sont nés ailleurs, dès lors qu’ils se trouvent ici depuis un certain temps et savent comment les choses se passent. En tout état de cause, tout est effet de la divine Providence. J’ai reçu votre lettre, à ce sujet et je m’efforcerai donc de chercher un moyen d’agir. L’un de mes amis ou de mes connaissances la contactera et s’enquerra de sa situation. Peut-être trouvera-t-il une façon de faire avancer les choses dans la direction que vous indiquez dans votre lettre.
A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’expliquer longuement que vous ne devez pas vous excuser de m’écrire, à ce sujet. En effet, les Sages ont toujours cherché à contribuer aux fiançailles d’un Juif et, plus encore, d’une Juive. Ils ont montré la grandeur et l’importance d’un tel accomplissement, conformément au grand principe de la Torah, qui est : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. Puisse D.ieu faire que s’accomplisse en vous la promesse de notre Torah, Torah de vie, selon laquelle : “ à celui qui honore les érudits, on accorde des gendres érudits ”, que vous ayez une lumière abondante, dans la dimension profonde. En effet, le saint Zohar explique que l’huile symbolise les “ secrets des secrets ” de la Torah. La bougie de ‘Hanouka et également celle du Chabbat ont précisément pour objet d’éclairer l’obscurité ou bien d’illuminer l’extérieur, c’est-à-dire, précisément, de diffuser et d’expliquer les secrets de la Torah. Et, le passage précédent affirme : “ Il aura des fils et des gendres érudits de la Torah ”. Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
9 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui m’est parvenue avec beaucoup de retard. Vous mentionnez votre seconde fille, qui se trouve aux Etats-Unis et qui, pour l’heure, n’est pas encore fiancée. Il est évident, surtout si l’on tient compte de l’usage aux Etats-Unis, qu’il m’est difficile d’intervenir, en la matière, tant que la personne concernée ne s’est pas manifestée elle-même pour solliciter un conseil ou, tout au moins, pour me faire part de sa situation. Il va, en effet, à l’encontre de la pratique locale, de s’adresser à quelqu’un pour lui demander ce qu’il fait. Combien plus en est-il ainsi pour les jeunes, même s’ils sont nés ailleurs, dès lors qu’ils se trouvent ici depuis un certain temps et savent comment les choses se passent. En tout état de cause, tout est effet de la divine Providence. J’ai reçu votre lettre, à ce sujet et je m’efforcerai donc de chercher un moyen d’agir. L’un de mes amis ou de mes connaissances la contactera et s’enquerra de sa situation. Peut-être trouvera-t-il une façon de faire avancer les choses dans la direction que vous indiquez dans votre lettre.
A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’expliquer longuement que vous ne devez pas vous excuser de m’écrire, à ce sujet. En effet, les Sages ont toujours cherché à contribuer aux fiançailles d’un Juif et, plus encore, d’une Juive. Ils ont montré la grandeur et l’importance d’un tel accomplissement, conformément au grand principe de la Torah, qui est : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”. Puisse D.ieu faire que s’accomplisse en vous la promesse de notre Torah, Torah de vie, selon laquelle : “ à celui qui honore les érudits, on accorde des gendres érudits ”, que vous ayez une lumière abondante, dans la dimension profonde. En effet, le saint Zohar explique que l’huile symbolise les “ secrets des secrets ” de la Torah. La bougie de ‘Hanouka et également celle du Chabbat ont précisément pour objet d’éclairer l’obscurité ou bien d’illuminer l’extérieur, c’est-à-dire, précisément, de diffuser et d’expliquer les secrets de la Torah. Et, le passage précédent affirme : “ Il aura des fils et des gendres érudits de la Torah ”. Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,